Blueberry J. Hayes || Fondatrice <3

Carte D'Identité

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Blueberry J. Hayes
Sophia Bush

Prénom(s) : Blueberry

Nom(s) : Jackson Hayes

Âge : 19 ans

Date de naissance : 18 mai 1991

Lieu de Naissance : Quelque part... Dans une petite ville.

Capacité Spécial {Optionnel}:

[X] Oui [] Non

Si oui, laquelle & Explique ton choix ? Tu peux voler aussi gracieusement qu'un ange.

Nom du père :

Jonathan Hayes

Nom de la mère : Constantine Jackson

Frère(s) & Soeur(s) : Blueberry n'a pas eu l'occasion d'obtenir un frère, ni même une soeur.

Question d'Administration

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Confrérie ? Tu fais partie des LAMBDA
Poser sa candidature : Tu fais partie de ses filles, Blue, qui malgré le faite qu’elles soient cataloguer en tant que fille de riche, possède tout de même un cerveau. Et c’est grâce à ce même cerveau que tu arrives à te placer en tête de classe. Les LAMBDA, c’est un peu comme une famille, que tu ne quitteras jamais. Et puis, personne d’autre que toi, n’aime autant faire la fête. Alors, oui, les autres t’envient et puis, tu aimes ça non ? Je pense que oui, avec ta joie de vivre, ils t’ont accepté sans l’ombre d’un doute. Le fait que les LAMBDA soient aussi connu, c’est aussi grâce à toi et à l’énergie que tu dépenses à danser et à rire lors des fêtes des KAPPA. Tu es la mieux placée pour les représenter.
Matière Principale : Cardiologie
Matière(s) Optionelle(s) : Médécine Avancée & le Français.
Explication de vos choix scolaire : Il ne te fallut pas beaucoup de temps pour te décider. Depuis toujours, tu es destinée à la médecine, voulant sauver tout ce qui est possible de sauver. Ainsi, tu voulais te spécialiser dans la Cardiologie. Et, étant une fille qui recherche encore et toujours la perfection, tu as choisis comme option la Médecine Avancé. Le corps humain n’a désormais plus aucun secret pour toi. Maintenant, lorsqu’un homme est près de toi, tu ne peux t’empêcher de réviser les muscles, les os et les parties du corps humain. A quoi bon sauver des vies si l’on ne peut pas voyager ? Contre tout attente, ton choix de langue c’était porté vers le Français. Un peu comme si, une petite bête t’avait soufflé que ce serai la meilleure voie.
Niveau d'Intelligence : 88% Inutile de faire semblant, tu fais partie des meilleures de Roosevelt University.

Hm… Quelles sont tes faiblesses ?

La Paresse : 15%
La Gourmandise : 60%
L'Orgueil : 1%
La Luxure : 50%
L'Avarice : 0%
La Colère : 10%
L'Envie :? 5%
------------------------------------------------------ = 100 %

Quelques details…très important

Histoire: Voir les postes suivant !

Et en amitié ? En amitié, on peut dire que tu es fidèle. Une fille toujours à l’écoute des gens, sans jamais vouloir quelque chose en retour. Tu as ton petit groupe d’amis, avec qui tu n’hésites pas à montrer ta frivolité et ta joie de vivre. Certains pourraient être perçut comme des ennemis potentielles, mais tu ne fais aucune différence. Bon ou mauvais, tu les adores !
Tu es…comme dire ? Une fille populaire, oui. Et je pense que cela te plait. Je pense que tu aimes être reconnu pour ta gentillesse et pour l’énergie que tu dégages. Alors, même si certains sont hypocrites et que tu le sais, tu ne dis rien. Du moins, pas pour l’instant.
Avec tes vrais amis, tu sors, tu bois et surtout, tu t’éclates. Garçons ou filles. Par contre, très peu de personne savent ce que tu as vraiment enduré au cours de ta jeunesse… Pourquoi ? Tu ne sais pas. Mais tu ne veux aucunement qu’on puisse te prendre en pitié.

Et l’amour, dans tout ça ? Aaaah, l’amour. Tu ne l’as pas vraiment connu. Du moins, pas comme tu le voulais. Ce que tu aimes toi, c’est la passion et le cœur qui bat à cent à l’heure. La chaleur qui monte jusqu’au cerveau et l’adrénaline qui coule dans tes veines. Malheureusement, tu cumules les amourettes sans aucune réelle envie d’aller plus loin dans une relation. Tu aimerais, et je le sais, pouvoir tenir contre toi un homme, sans que celui-ci n’aille se faire des idées. Et puis, tu voudrais pouvoir lui parler en toute sincérité de ta vie. Pour l’instant, ce que tu as, se sont : des conquêtes un peu trop rapidesque tu ne préfères pas revoir et des amoureux collants. C'est-à-dire ceux qui pensent que tu les aimes, alors que c’est tout le contraire. Je pourrais te crier à quel point tu es compliqué, et que parfois, tu cherches la petite bête là où il n’y en a pas. Mais toi, tu aimes la perfection. Et qui sait, tu l’as trouvera peut-être ici, dans cette université particulière qui te tient tant à cœur.
De plus, tu es totalement hétérosexuelle. Et personne ne pourra dire le contraire. Les hommes, tu les aimes plus que tout au monde. Même si tu n’es pas du genre à refuser des expériences un peu particulière, tu es loin d’avoir une attirance pour les femmes, quelles qu’elles soient. Les corps musclés et l’intelligence masculine, c’est ce qui t’attire et fait battre ton cœur.

Famille : Blueberry n'a pas vraiment de parents. Les siens sont mort lorsqu'elle était très jeune. Comment ? D'une façon banale, mais renversante. Sans prévenir, ils ont eu un accident de voiture. Peu après, elle fut placer dans un orphelina à New-York. Elle n'avait pas d'autre famille que ses parents à sa connaissance. Jusqu'à l'âge de 14 ans où un homme décontracté vint la chercher et l'emmena en... limousine. C'était un homme aimant et très gentil, qui en plus de tout cela était homosexuel. Cela ne gêna en rien Blueberry, qui appréciait cette originalité familliale. Ils s'appellaient Ryan & James. Ils ne se sont jamais montrés trop proches afin de ne pas choquer Blueberry. Ils ont toujours tout fait pour qu'elle se sente bien malgré son chagrin envers ses parents.

Rang Social: Blueberry fait partie de l'Elite, donc des filles de riche venant de New-York.

Description Physique : Tu es belle. Personne ne peut dire le contraire, sauf peut-être les jalouses (Non, je ne vise pas spécialement les KAPPA). Ce n’est pas pour rien que tu fais partie des LAMBDA !
Tu as des cheveux marron, un peu comme une cascade de chocolat. On pourrait dire que ta gourmandise vient de là. Et puis, tes yeux, ils sont tant tôt d'un vert profond, tant tôt d'un émeraude envouteur. D’après toi, il varie selon le temps. Mais moi, je pense que cela varie selon ton humeur. Tes lèvres, elles, sont très délicates et aussi douces que de la soie. Personne ne résiste à un baiser de ta part, surtout quand tu mêles celui-ci à tes jambes. Elles sont longues et toute à fait en harmonie avec ton corps de sportive. Si on regarde bien, on peut voir quelques grains de beauté sur celles-ci. Tu n’es ni trop grosse, ni trop maigre : tout simplement le juste milieu. Tu as toujours des ongles parfaits, et des mains lisses grâce à la crème CHANEL que tu mets. Et puis, tes fesses, certains préfère sauter le sujet mais moi, j’en parle. Elles sont rondes, et sans aucun défaut. Tu es la perfection.

Qualités : Tu m’étonnes avec ton caractère de film d’aventure. Parfois, je me demande, pourquoi es-tu aussi drôle, même quand la situation ne l’ai pas ? Je me surprends, à rire avec toi, alors que normalement je pleurs. Tu as ce don – en autre – de pouvoir tourner tout les sujets les plus durs en dérisions. Et puis, mêlant ta drôlerie à ta gentillesse, cela nous offre un cocktail de sensation forte. Et puis, tu es aussi très déterminé. Une vraie teigne. Il vaut mieux que personne ne te barre la route. Tu as tellement de qualités, tu t’en rends compte ? Tu sais être créative et être totalement délurée lors des soirées. Tu es la première, qui, sans grand effort réussi à faire décoincer les plus timides. Ce n’est pas tout, tu as tendance à rougir lorsque la situation devient un peu plus concluante avec les garçons et quand bien même, ton romantisme l’emporte et à ce moment là, les garçons ne peuvent que fondre devant une telle beauté. Oui, ta beauté est une qualité que très peu de jeunes filles ont aussi naturellement. Sans oublier bien sur ton immense générosité à aider les autres même si cela te coûte. J’aurais pu aussi utiliser le mot loyauté, mais je trouve que générosité te caractérise bien mieux. Avec tes amis, tu n’as pas besoin de prouver que tu tiens à eux, même dans l’adversité. Ils savent que tu là, et tu sais qu’ils sont là. Mais bon, je m’écarte du sujet…

Défauts : Malgré toutes ses qualités, tu as quand même quelques défauts. Car derrière cette gentille, se cache une fille au caractère bien plus compliqué qu’il n’y parait. Tu as cette rage en toi qui fait que tu te sens obligé de venir en aide au plus faible, et parfois même, il t’arrive de sortir les poings. Tu n’hésites pas non plus à sortir les mots durs, qui font mal. Quoi toi, tu sais. Tu sais que ce n’est jamais bien d’être seul. Et puis, Blue, tu es une gourmande. Te lever la nuit pour un carré de chocolat ? Tu aimes. Tu aimes faire des folies avec ton corps, même quand il s’agit que celui-ci change à cause du chocolat ou même de gâteau. Mais au fond, tu fais attention à ne pas en faire trop. Il m’est difficile de te trouver des défauts, ils paraissent tellement minime quand il s’agit de toi. Mais tout de même, il faut le dire, tu es rancunière. Principalement parce que tu n’aimes pas souffrir, alors tu te caches dans une haine. Une haine que parfois tu ne contrôles pas. Je m’éloignerai du sujet en disant que, même si tu déteste quelqu’un, tu ne peux t’empêcher te ressentir de l’amitié pour ce dernière.

Des questions, toujours des questions !

Est-il ou elle fidèle en amitié ? Oui très, l'amitié a une place importante dans sa vie.
Croit-il ou elle au grand amour ? Bien sur, même si elle ne l'a pas encore connu.
A-t-il ou elle déjà sauver quelqu’un ? Non, elle aurait bien aimé...
A-t-il ou elle déjà trahis quelqu’un pour de l’argent ? Non ! Quelle question !
A-t-il ou elle trop bu pour oublier une mauvaise journée ? Oui, parfois.
A-t-il ou elle fait du sport au cours de sa vie ? N'étant pas une grande sportive, elle fais des footing de temps en temps.
A-t-il ou elle des secret suceptibles de rendre heureuse Secret Thing ? Oui, pleins de secret. Et rare sont les personnes qui le savent...
Serait-il ou elle prêt(e) à participer à des actions caritatives ? Oui, elle adorerait ça !
Serait-il ou elle capapable d’être le ou la meilleure à Roosevelt University ? Elle l'est peut-être déjà. Mais elle n'aime pas se l'avouer.

Et dans la vraie vie ?

Ton prénom : Sépia, si étrange soit-il ^^ !
Ton âge : 15 printemps :3
Où as-tu connu le forum ? C'est étrange étant donné que c'est moi qui l'a fait !
Es-tu actif ? Enormément !
Le mot de passe ?

Spoiler:

Autre chose à ajouter ? Je vous aimeuuuuuuuuuh ! <3

Histoire :

Tu as ouvert les yeux devant un monde simple et remplit d’amour. Ta première vision fut celle de ta mère, Constantine. Tu avais tendu tes mains potelées vers son visage, et délicatement tu l’as touché.
Ce fut une journée exceptionnelle et ensoleillé, pas étonnant pour un mois de mai. Les fleurs avaient écloses et la verdure était plus verte que jamais.
Ta mère avait accouché quelques heures plutôt, dans une panique général. Les médecins avaient tout d’abord cru à une complication mais par bonheur, tu t’en es sortis. Tu avais crié tellement fort que ton père du mettre ses mains à ses oreilles. Tu avais de la voix, et une belle qui plus est.
Tu étais née avec des yeux verts émeraude et des cheveux couleur chocolat, tu étais la fierté de tes parents.

« Elle est belle ? Hein ? On a bien travaillé… »

Sur la vidéo, on voyait ta mère dire ceci. Elle avait les yeux brillant de joie de bonheur et ton père, sensible comme il est, avait pleuré. Des filles magnifiques comme toi, on en voit rarement de nos jours. Constantine dût rester plus longtemps à l’hôpital à cause de la fatigue. C’est exactement le 22 mai que tu sortis enfin, pouvant respirer à plein poumon l’air frais qui s’offrait à toi. Tu avais regardé le ciel, comme si au fond tu savais déjà…

Quelques années plus tard, tu avais bien grandit. Désormais, tu savais marcher et parlait aussi parfaitement qu’une adulte. Malgré tout, tu gardais cette voix enfantine et se regard profond dont on s’engouffrait souvent. C’est à l’âge de six ans, je crois, que tu appris que tu étais dotée d’une capacité étrange et magique. Tu savais voler tel un ange dans le ciel. Je ne sais pas bien si tu te souviens de ce jour, où gracieusement, tu t’étais élevé. Tu avais eu cette lumière d’inquiétude et de frustration dans les yeux. Pourtant, tu n’avais rien dit, laissant à la nature le plaisir de pouvoir t’enlever de ce monde. Ainsi, quelques minutes plus tard, tu étais redescendu sur terre. Tu avais courut vers ton père, les larmes aux yeux. Ton père ne compris pas ce qu’il s’était réellement passé. Mais tu étais si excitée d’avoir eu ce don. Tu avais plongé tes yeux d’enfant dans ceux de Jonathan, essayant tant bien que mal de trouver les réponses aux questions qui te perturbaient tellement. Tu avais dit aussi naturellement que possible à ton père, que cela ne te faisait pas peur. Mais au fond de mon cœur, ce jour avait été le plus beau de ta vie. Tu avais courus, une nouvelle fois, les bras tendus vers le ciel. Tu voulais toucher ces nuages, en forme de coton et aussi, vouloir caresser du bout de tes petits doigts, le soleil brûlant. Ce don faisait partie de ta vie, il avait été le pilier de ta détermination et de ton acharnement au travail. Tu voulais prouver que tu méritais d’une façon ou d’une autre d’avoir eu cette capacité, si étrange soit-elle. Savais-tu réellement se que tu faisais lorsque tu t’élevais du sol pour aller chercher un livre, ou je ne sais quoi ? Je ne sais pas, à toi de me le dire. Chaque jour, tu t’envolais haut dans le ciel, au point que parfois je n’arrivais plus à te distinguer. Et puis, après quelques heures à voler au dessus des nuages, tu revenais vers tes parents, racontant avec toujours plus d’excitation ce que tu avais vu.

Après des jours et des jours de bonheur, tes parents partirent un matin très tôt, trop tôt. Ils t’avaient laissé avec une nourrice que tu n’avais jamais vue de ta vie. Ils avaient prétexté une urgence, bien évidement tu ne sus jamais laquelle. Tu savais qu’il allait se produire quelque chose. Alors, contre toute attente, tu demandas à ta nourrice de jouer à cache-cache. Celle-ci ne te trouva jamais. Elle se retourna et se mit à compter. A partir de là, tu partis discrètement par la fenêtre de la cuisine et tu t’envolas. Tu voulais les retrouver, même si tu ne savais pas de quelle manière tu allais t’y prendre. Tu n’avais jamais quitté la maison par la voie des airs.

Tes cheveux étaient collés à ton visage, crispé par la frustration. Ton regard était porté vers les toits des maisons et les routes nombreuses ainsi que les voitures multicolores. D’un simple regard, tu perçus de la fumée au loin. Tu volas le plus rapidement possible, le cœur qui battait la chamade. Instinctivement, tu savais où aller. Quelques secondes plus tard, tu atterris au milieu d’une rue. Les pompiers étaient là par dizaines ainsi que la police. Il ne te fut pas beaucoup de temps pour reconnaître la voiture de ton père. Tu courras jusqu’à eux, priant de toute tes forces pour qu’ils survivent. Jonathan sortis sur une civière, le visage en sang et ta mère, était recouverte d’un plastique noir. Tes jambes se dérobèrent et tu tombas en criant et pleurant. Tout avait été flou autour de toi ce jour là. Les pompiers remarquèrent ta présence et t’emmenèrent avec ton père. L’ambulance était froide et pas très rassurante. Tu posas ta main sur celle de ton père mais celui-ci ne bougea pas. Tu vérifias que les pompiers étaient occupés et tu t’allongeas près de ton père. Tu lui susurras des « Je t’aime » et des « Ne me quitte pas » tout en laissant couler les larmes salées sur des joues rosées par la douleur. Le chemin vers l’hôpital fut long et les pulsions de ton père lâchèrent peu à peu jusqu’à temps qu’il s’endorme pour toujours. Tu restais collé à lui et quand les pompiers voulurent te détacher de lui, tu t’envolas vers un immeuble et toute la nuit, tu regardas le ciel.

« Ma… Maman ! »

Entre deux cauchemars, tu murmurais son prénom ou celui de ton père. Ton cœur avait été arraché par la colère. Les étoiles t’avaient parut se jour là, beaucoup trop lointaine. A plusieurs reprises, tu t’envolas essayant de toucher le ciel comme tu l’avais toujours rêvé… Sans jamais y parvenir.

Tu es maintenant âgé de dix ans. Après la mort de tes parents, tu as été envoyé dans un orphelinat de New-York. L’orphelinat était pire que de vivre seule dans les rues de Brooklyn. Tes parents n’avaient rien prévus pour toi, si ils leurs arrivaient quelque chose. Ils pensaient peut-être que jamais rien ne pourrait les séparer de toi.
Si tu cassais une assiette, tu étais privé de repas. Si tu étais colérique, on te giflait. Si tu fixais les gens, on te griffait. Les autres enfants ne t’aimaient pas et te le faisaient savoir d’une façon ou d’une autre. Tu n’osais même plus voler, de peur qu’on te coupe les ailes. Souvent, les autres enfants te piquaient ton repas ou te menaçait de mort. Sauf une fille, dont tu n’as jamais retenue le prénom et qui parfois venait te soutenir tard dans la nuit afin que personne ne la voie.
A cause de toutes ses violences, tu as quelques cicatrices dans le dos et sur les bras. Tout ceux que tu avais ‘‘connu’’ partirent rapidement tandis que toi, tu restais. A chaque fois que des parents potentiels venaient te voir, tu ne leurs parlais pas et tu donnais un coup de pied au père qui voulait t’adopter.
Jusqu’à tes quatorze printemps où tu changeas. Tu étais gentille, timide et coquette. Tes efforts porta ses fruits étant donné qu’un soir, un homme décontracté vint te chercher…en limousine. Les autres enfants étaient verts de jalousie et toi, tu étais fière même si tu le cachais.
D’après ce que tu avais compris de ses paroles, il s’appelait Ryan. Lui et son compagnon avaient toujours rêvé d’avoir une fille, mais pas trop peut petite. Jamais au cours du reste de ta vie, ils ne t’avaient obligé à les appeler papa. De toute manière tu ne le voulais pas, ils étaient simplement Ryan et James. Même les premiers jours de l’adoption, ils avaient été fabuleux et aimant tout en comprenant son intimité et sa tristesse. Ils ne t’avaient jamais forcé la main pour parler de ton passé, tu le faisais toute seule au cours des nombreuses soirées films que vous faisiez. Ryan et James t’offrirent tout ce que tu rêvais d’avoir, tout en restant dans les limites car tu n’étais pas une fille capricieuse. Les journées n’étaient jamais longues, toujours prenantes et drôles. En rien ils ne s’étaient montrés trop proche l’un de l’autre afin de ne pas te choquer.

Les années passèrent et tu devins une jeune femme, prête à travailler dur pour réussir dans la vie. Tu fis un seul et unique caprice, aller à Roosevelt University. Ils avaient accepté avec bonheur et t’embrassa de tout leur amour lors de ton départ pour l’université. Pendant toutes ses années, ils n’ont jamais été au courant de ton secret que tu avais si bien caché. Le soir, tu t’envolais et regardais le ciel en haut d’un immeuble. Tu racontais, les larmes aux yeux, tes journées à tes parents. Jusqu’au jour où tu décidas de t’ouvrir à eux. Ils prirent la nouvelle avec surprise mais sourirent de la confiance que tu leurs avais donné.

Désormais, tu es une LAMBDA ouverte et aimée de tous. Certains connaissent ton lourd passé, et d’autre non. Tu aimes les mystères mais pas la pitié.
Populaire ou non, sauvé des vies est désormais ta raison de vivre…