New Meeting (Pv Plumshia)

Ce matin Lorènn s'était levé tôt. Une grande première pour lui qui passait davantage ses nuits à écrire qu'a dormir.Il s'était surpassé la veille pour ne pas avoir de travail en retard... En effet aujourd'hui Lorènn devait aller rendre visite à ses frères l'après-midi, il n'aurait donc pas de temps pour terminer ses compte-rendus pour le lendemain !
Il se leva cependant difficilement, se dirigea d'un pas lourd vers la douche . Il resta une demi-heure sous l'eau chaude; son système de rêveil ! Après cela il se planta devant son "tas" d'habits et fouilla à l'intérieur, cherchant une tenue potable : ce n'était pas n'importe quel jour et Lorènn n'osait pas imaginer la tête de ses frère si il mettait un T-Shirt blanc et un jean délavé. Il trouva finalement après dix minutes de recherche une chemise gris clair à rayures blanches et une jeau bien coupé blanc.Ils étaient légerement froissés mais feraient l'affaire. Il pris ses chanssures cirées dans le meuble prévu à cet effet et les mis soigneusement.

Il pris sa serviette sur le lit et sortit de la chambre en marchand, cela aussi c'était un prmiére ! "Cet idiot court tout le temps, évidemmment il est toujours en retard !" disait son ennemi Ethan, en même temps, il n'avait pas tort, Lorènn était toujours en retard à ses cours et aux rendez-vous. Sauf exeption les jours comme celui-ci où il se surpassait, autant dans la tenue que dans l'organisation de la journée !

Après avoir été aux cours du matin et après avoir mangé, presque rien d'ailleurs, Lorènn marcha quelques minutes dans le park ensoleillé. Il faisait beau et son repas ecourté lui avait fait gagné du temps ! D'habitude il se s'asseyai dans l'herbe mais là il aurait taché son costume ! Il se regarda dans une vitre du Gymnas et fit la grimace... Il n'avait pas l'habitude d'être vêtu de cette façon et cela lui faisait tout drôle.

Après une heure de érance sans rien faire il s'assit enfin à l'arrêt de bus et attendi le bus de Brooklyn : là où habitaient ses frères, pas dans la même maison mais le même quartier. Ce quartier rappellait à Lorènn son enfance, ses frères la taquinant, ses parents l'ignorant, ses amis à l'école. Et déjà à cette époque Lorènn faisait sensation auprès des filles. Il n'avait avant qu'une seule véritable amie et confidente sur qui il avait toujours pu compter : une certaine Plumshia... Il ne se souvenait que son prénom, c'était déjà exeptionnel à cause de son oublis totale de la vie après son coma. C'est ses frères qui lui avaient parlé de cette fille et de ses autres amis, ésperant alors lui faire revenir d'autres souvenirs...

Alors qu'il ressassait ses souvenirs d'enfances, le bus que Lorènn devait prendre arriva. Il était tellement pris dans son esprit qu'il le loupa, une fille passa à côté de lui, l'air surprise et heureuse en même temps : Lorènn leva alors les yeux pour la regarder, il la reconnut de suite à cause de ses yeux uniques, c'était elle : Plumshia !

Invité

[ HJ : ça fait bizarre, ce Rp doit être mon 1er normalement x) Breef, je voulais dire aussi : Plumschia =) ]

Le matin se leva à peine qu'une certaine fille était déjà debout. Elle était en train de déjeuner, la tête un peu dans les choux. Après avoir légèrement manger, elle se secoua un peu plus. Après tout, aujourd'hui, il y avait quelque chose d'important : elle allait entrer à Roosevelt University !! Elle partie vers la salle de bain et se doucha rapidement ; si elle s'était levée tôt, ce n'était pas pour rien ! Il fallait faire vite pour ne pas louper le 1er bus qu'elle devait prendre.
Ensuite, elle choisie un pantalon noir et un pull fin bleu foncé. Ses chaussures étaient simplement des chaussures fermées d'un noir ébène. Elle ne savait pas vraiment comment s'habiller, ce jour là...
Plumschia prit son sac qu'elle avait préparé la veille et sortit de la maison en s'écria :

- Au revoir tout le monde ! Je vous appelle ce soir !

Pour réponse, ses parents parla mais la jeune fille n'entendit qu'un bruit sourd.

Elle partit à l'arret de bus de son premier bus. Plumschia avait préparé tout un plan qu'avec des bus... il y avait au moins 4 bus différents qu'elle devait prendre !
Le bus arriva. Elle passa la porte et se rendit compte que ça y est, elle allait enfin à la célèbre Roosevelt University. Elle en était tout excitée. Elle ne savait pas trop à quoi s'attendre. Biensûr, elle connaissait le général. Mais les professeurs, les élèves ? Comment sont-ils ? Les locaux sont-ils si biens ? Milles questions commencèrent à paraître dans sa tête pendant tout le trajet.

13h. L'arrivée. L'arrivée de Plumschia Flena à l'entrée de l'université. Que devait elle faire à présent ? Déjà, sortir. Donc elle prit la porte du bus, sac sur l'épaule. Elle descendit lentement, prenant bien son temps. Elle passa le seuil du bus et observa déjà les alentours, ne faisant pas attention où elle mettait les pieds. Quelques personnes attendaient eux aussi leur bus. Mais... ses yeux s'arrêtèrent sur quelqu'un.

Ça ne peut pas être... Non...

La jeune fille lâcha son sac et avait un air ahuri. Les yeux écarquillés, sa bouche était un peu ouverte mais rien n'y sortait. Elle l'avait reconnu... C'était bien lui... Elle couru vers lui et se jeta sur lui pour l'enlacer. Ses yeux brulait. Elle pût enfin dire quelque chose :

- Lo... Lorènn... Je suis tellement contente de te revoir !

Elle le lâcha pour mieux le contempler. C'était toujours un beau garçon, et il avait grandi, remarqua-t-elle. Elle le regarda droit dans les yeux. Un immense sourire se dessina sur son visage. Lorènn lui avait tellement manqué ! C'était un de ses plus fidèls amis.

La jeune fille lacha son sac et le ragarda comme si elle ne l'avait pas vu depuis des lustres ! Ce qui n'était pas entiérement faux car Lorènn n'avait pas vu son amie depuis qu'il avait 10 ans, il n'était alors pas doté de pouvoirs prémonitoirs ! En effet en y réfléchissant la veille au soir, il avait euu une vision lui montrant une jeune fille de 10 ou 11 ans dansant dans une cour de récréation avec une robe bleu nuit et des sandalettes ! Mais à la place de son visage il y avait une tache sombre...

Plumschia -car il ne doutait plus que c'était bien elle- le regarda sans un dire un mot puis sans prevenir, elle se jeta sur Lorènn et l'enlaça tendrement et avec force ! Elle lui faisait mal mais la joie de revoir son amie si chère lui fit tout oublier... Il ne savait plus où il était, avec qui. Ni ce qu'il devait faire ainsi que les raisons de sa présence à l'arrêt de bus ! Il en avait même presque oublier qui il était ! L'émotion était trop grande, des larmes fines coulèrent sur ses joues. Quelle honte ! Il entendit soudain une voix joyeuse et -carillonante qui le sortit de sa rêverie. Il s'aperçut que c'était Plumschia qui avait parlé :

- Lo... Lorènn... Je suis tellement contente de te revoir !

La jeune fille daigna enfin le lacher, il s'empressa alors de sécher les traitresses avec sa manche. Plumschia l'observa dans les moindre détails et planta son doux regard dans ses yeux ambres... Au moin mes efforts de tenues n'auront pas servient à rien ... Le jeune homme lui répondit après un temps d'hésitation non justifié :

- Ohhh... Plum' moi aussi ! Je suis si heureux !

Le sourire de la jeune fille s'élargit quand elle entendit le surnom que tout le monde lui donnait étant petite; son ami le premier ! Lorènn enchaina après une minute de rire joyeux :

- Alors te voilà à Roosevelt University ! Je ne savait pas que tu devais y venir ... C'est tellement irréel, je me crois dans un rêve ! Un rêve qui jamais ne céssera de me faire sourire ! Vient avec moi je vais te dire tout ce que tu dois faire en arrivant ! Mais avant si tu veux on peut parler un peu ... tout les deux ...dans le parc ?

Il avait tant de choses à lui raconter, une journée ne suffirait sûrement pas ! Et elle aussi, son " ange du soleil " comme il l'appellait avait certainement encore plus de chose à dire que lui ! Mais maintenant que la jeune fille était et vivait ici, ils auraient toutle temps de parler...
Plumschia ne lui laissa pas le temps de penser plus longtemps, elle lui avait déjà attraper une main et elle l'entrainait vers le parc coloré en riant et dansant sur place telle un elfe joyeux ! Lorènn lui, se laissait faire et souriait, cette ange allait vraiment remettre de la lumiére dans sa vie !

Invité

[ tu peux éviter de faire les geste de ma perso, s'il te plait... ? ]

Le jeune homme répondit, heureux :

- Ohhh... Plum' moi aussi ! Je suis si heureux !*

Il sécha ses quelques petites larmes de joie. Plumschia sourit de plus belle en l'entente de son si mignon surnom qu'on lui donnait autrefois. Lui, il continua :

- Alors te voilà à Roosevelt University ! Je ne savait pas que tu devais y venir...

Moi non plus... C'est tellement génial de te voir ici, pensa-t-elle joyeusement.

- C'est tellement irréel, je me crois dans un rêve ! Un rêve qui jamais ne cessera de me faire sourire ! Vient avec moi je vais te dire tout ce que tu dois faire en arrivant ! Mais avant si tu veux on peut parler un peu... tout les deux... dans le parc ?

La Cheerleader écouta attentivement chaque mot de son ami, elle adorait sa voix. Ça lui rappelait tous les bons moments passés, et même les mauvais, mais c'était si bon de l'entendre de nouveau. Il parla si précipité, qu'elle répondit après un temps de réflexion :

- Ouais, d'accord ! J'ai tellement de choses à te dire !

Elle sentit ses yeux brûler. Elle était encore sous le coup de la surprise. Elle qui croyait qu'elle ne connaitrait personne à Roosevelt University ! Eh bien, elle s'était royalement trompée, même si elle ne pouvait le savoir à l'avance.
Plumschia avait perdu tellement d'amis... C'est bien là le risque, quand chacun prend une nouvelle voie...
Elle pensait déjà au futur : voir tous les jours Lorènn, faire des délires ensemble, leurs raconter chaque instant de leur vie... Elle était vraiment enchantée qu'ils se retrouvaient ici, ensemble, et ça, pour certainement longtemps.
La jeune fille s'empressa de se saisir de la main de son ami, elle ne pouvait tenir en place. Elle laissa son sac à l'arrêt de bus, pensant que personne ici irait le piquer. Après tout, maintenant elle avait retrouvé Lorènn, elle avait d'autres choses à penser !
Ils avaient une telle complicité... mais rien de plus. Pourtant, ils étaient très proches, et s'appréciaient énormément. Rien ne pouvait les mettre dos à dos. Ils avaient toujours tenu à ce que l'autre aille bien.

Plumschia trouvait le temps encore plus beau, plus bon. Le parc était près d'eux, repéra-t-elle rapidement. Elle n'arrivait pas à "désourire" et emmena Lorènn près d'un arbre, qui reprenait ses couleurs et ses fleurs peu à peu. Elle le lâcha et s'assit péniblement tout en invitant le garçon à faire de même. Elle ne pouvait attendre une seconde de plus et commença très rapidement :

- Alors ? Toi ? Comment ça va ? Où vis-tu ? Et ta famille ? Euh... non, d'abord toi ! Qu'as-tu fais ? As-tu eu des problèmes ? Des amours ? Des nouvelles amitiés ? Qu'es-tu devenu ?!

Elle stoppa net, regardant le jeune homme dans les deux yeux. Elle s'esclaffa un court instant, s'étant surprise à s'être précipité. Elle ne chercha pas à continuer et ses oreilles étaient aux aguets pour louper aucunes informations de la vie sans elle de son vieil ami.

Elle l'emmena vers un banc encadré de fleurs blanches, elles était de la même couleur que la lumière dans les yeux de Plumschia... Elles étaient très belles. Elle aussi ...
La jeune file s'assit sur la banc et le regard doux qu'elle lanca à Lorènn lui fit faire de même. Elle n'osait pas parler, en tout cas c'est ce que Lorènn ressentait en la regardant. Elle souriait ça oui, mais aucun son de sortait de sa bouche... Soudain elle lacha un flux de questions désordonnées :

- Alors ? Toi ? Comment ça va ? Où vis-tu ? Et ta famille ? Euh... non, d'abord toi ! Qu'as-tu fais ? As-tu eu des problèmes ? Des amours ? Des nouvelles amitiés ? Qu'es-tu devenu ?!

Elle parlait si vite quil ne compris pas la moitié de ce qu'elle avait dit. Mais il se doutait de l'essentiel, et sa dérniére quetion resumait les autres ! Il pris le temps de la regarder encore, elle semblait plus detendue maitenant qu'elle s'était vidé de tout ce poids. Lorènn observa les alentour d'un regard vide, il ne réalisait pas encore ce qui venait de sa passer. Son amie si chère et sa confidente était à Roosevelt ! Ils allaient se voir tous les jours et tout redeviendrait comme avant quand il jouaient dans la cour et que l'un emmenait l'autre dans un petit coin pour lui raconter ses joies, ses peines ou ses problèmes... A l'époque ils n'avaient pas de secrets l'un pour l'autre et Lorènn ésperait que cela serait pareil ce jour même, et tout ceux qui suivraient.
Tout ce remu meninge n'avait duré que quelques secondes mais cela avait paru une éternité à Lorènn. Il se décida enfin à répondre sans vraiment réfélechir à ce qu'il disait :

- Et bien je vit ici comme tu peux le constater... Et je vais très bien, mieux maintenant que tu es là ! Je n'ai eu qu'un seul problème dans ma vie mais rien de très important enfin...
Lorènn hèsitait de lui parler de son long coma mais après tout pourquoi lui cacher ? Il ne voulait pas qu'elle panique... Après une longue inspiration il se lança dans le récit :

- Quand j'ai déménager à 10 ans je pensais énormement à toi ... Je me demandais si j'allais te revoir, si j'allais encore pouvoir te parler un jour mais toutes les questions que je posais à mes parents finissaient au placard, ils m'ignoraient... Nous sommes arrivés à destination et 3 jours plus tard la maison brûlait...

Le jeune homme vit son amie tressaillir mais continua :

- Mes frères n'étaient pas là, ils étaient chez mes grends-parents et moi seul... avec papa et ...maman. Ils sont morts étouffés dans la fumée, moi je restais là au milieu de la piéce... Ensuite le trou noir ! Je me suis réveillé sur l'herbe séche dans le jardin , des éclats de voix autour de moi... Je me suis rendormis ... pour resté dans le coma 6 ans. A mon rêveil mes frères étaient là, ils m'ont raconté ce que je ne savait pas et m'on rébilités à la vie d'adolescent. c'est aisi que 3 mois plus tard je savait à peu près tout ce que dois savoir un garçon de 14 ans. C'est aussi à cet âge là que j'ai développé mon pouvoir prémonitoir !
Ensuite à 17 ans je suis rentre à Roosevelt University, et là tout à basculer, je me suis sentis chez moi pour la première fois depuis mon rêveil... Voilà tu sais à peu près tout !

Cela faisait longtemps que Lorènn ne s'était pas livrer à quelqu'un. Il tourna enfin la tête vers Plum', tout le récit il avait regardé le ciel bleu, et cotonneux. Elle avait légerement ouvert la bouche et le comtenplait avec des yeux triste et vide. Lorènn n'osa rien dire mais il savait dès ce moment que ce qu'elle lui dirait serait aussi à encaisser, quoique cela fûsse...

Invité

Après la précipitation de Plum', Lorènn répondit tout compte fait :

- Et bien je vit ici comme tu peux le constater... Et je vais très bien, mieux maintenant que tu es là ! Je n'ai eu qu'un seul problème dans ma vie mais rien de très important enfin...

La jeune fille sourit gentiment en entendant ces mots. Ils prouvaient que Lorènn tenait à Plumschia, et elle, elle appréciait qu'on lui fait remarquer ça.
Il continua après un court arrêt :

- Quand j'ai déménager à 10 ans je pensais énormément à toi ... Je me demandais si j'allais te revoir, si j'allais encore pouvoir te parler un jour mais toutes les questions que je posais à mes parents finissaient au placard, ils m'ignoraient... Nous sommes arrivés à destination et 3 jours plus tard la maison brûlait...

A nouveau il s'arrêta, comme pour laisser à son amie le temps d'avaler ses mots, et il fit bien, car elle fut stupéfaite en entendant cela. Un frisson parcouru le corps de la fille. Elle était surprise d'apprendre tellement de malheur auprès de son ami tant aimé...

- Mes frères n'étaient pas là, ils étaient chez mes grands-parents et moi seul... avec papa et ...maman. Ils sont morts étouffés dans la fumée, moi je restais là au milieu de la pièce... Ensuite le trou noir ! Je me suis réveillé sur l'herbe sèche dans le jardin , des éclats de voix autour de moi... Je me suis rendormis ... pour resté dans le coma 6 ans. A mon réveil mes frères étaient là, ils m'ont raconté ce que je ne savait pas et m'ont rébilités à la vie d'adolescent. C'est ainsi que 3 mois plus tard je savait à peu près tout ce que dois savoir un garçon de 14 ans. C'est aussi à cet âge là que j'ai développé mon pouvoir prémonitoire !
Ensuite à 17 ans je suis rentre à Roosevelt University, et là tout à basculer, je me suis sentis chez moi pour la première fois depuis mon réveil... Voilà tu sais à peu près tout !

Plumschia refit tourner chaque mots dans sa tête, pour être sûre d'avoir entendu ce qu'elle venait d'entendre. Elle était bouche-bée et se raidit. Comment se faisait-il que Lorènn ait vécu tout cela ? Et en plus, sans qu'elle le sache ? Elle avait l'impression qu'on venait de la décongelée après un siècle, étant complètement perdue. Elle sentit une légère culpabilité envers le jeune homme. Dire tout ça d'un trait... La fille était encore tout étonnée. Elle ne savait que répondre. Elle se contenta de commenter :

- Je... je suis désolée pour tes parents... Eux qui étaient si sympa... Et... 6 ans dans le coma !

Elle ne savait plus quoi dire. Son air était triste et confus. C'était énorme... il devait être assez bouleversé, pensait-elle. Elle repensa à ce que venait de raconter son ami et un petit truc accrocha :

- Tu peux avoir de la prémonition ?...

De la prémonition ? C'est pas... savoir quelque chose en avance ? Si ! Mais c'était autre chose... De toute façon, beaucoup de monde ici avait quelque chose de spécial. *J'aurai du y penser avant !* Plumschia n'était plus aussi joyeuse qu'avant, bien qu'elle revit Lorènn. Elle savait qu'il avait mal, et si son ami avait mal, elle souffrerai avec. Peut-être que maintenant il ne pensait plus trop aux évènements passés, mais elle, elle était presque sûre qu'il y pensait encore, même à Roosevelt University. Enfin, c'était normal après tout ! Comment oublier quelque chose d'aussi horrible ? *Moi je ne survivrai pas comme ça...* Mais lui était fort. Il avait réussit à tout continuer, même après 6 ans de sommeil et étant orphelin. Elle l'admirait pour sa résistance.
Elle détacha son regard du visage du garçon pour se poser sur le sol frais. Ce regard était vide. Elle ne bougeait rien d'autre, juste les yeux.

Plumschia mit quelque minutes à répondre à ce que Lorènn venait de lui dire. Puis finalement elle lacha un phrase très triste et en même temps étonnée. Lorènn se doutait bien que personne ne lui avait rien dit sur lui depuis leur séparation ... Tout comme personne ne lui avait parlé d'elle, elle lui avait tellement manquer q'un jour il avait failli partir à sa recherche mais s'était ravissé en apprenent quil était pris à Roosevelt! Ce jour il vait ababndonné l'idée de la retrouver un jour, et qu'ils vivraient pratiquement emsenble ...

- Je... je suis désolée pour tes parents... Eux qui étaient si sympa... Et... 6 ans dans le coma !

Lorènn lui laissa le temps de digéré tout ce qu'il venait de lui dire... Evidemment cela avait fait remonter des souvenirs douloureux pour lui et certainement aussi pour elle ! Notamment le jour de leur séparation. Il se souvenais encore...Lui à l'arrière de la voiture pleurant à chaudes larmes, ses mains contre la vitre... Et elle, courant derriére, tombant parfois, se relevant en pleurant et recommencer à courir. Les seules choses que Lorènn avaient gagnées ce jour là était le vissage de son amie en pleurs et couverte de plaies et une gifle cuisante de son père qui en avait asser d'entendre crier derriére lui... Oui cela étaient des mauvais souvenirs pour eux deux.
Mais pour Lorènn ressasser ces souvenirs ne pouvaient faire du bien, pour Plum' non plus d'aileurs, pour lui c'était le passé et maintenant qu'elle était revenue, il fallait vivre au présent ! Il décida de lui avouer ses pensées, comme avant :

- Plum' ... oublie tout ça, cela ne compte plus... fait moi plaisir et laisse tomber ce que je t'ai dit ! Maintenant le plus important c'est de vivre au prèsent. Et aujourd'hui j'ai envie de vivre chaque seconde avec toi...

Il s'arrêta, et la regarda pour voir si elle le comprenait. C'était le cas , enfin c'est ce que Lorènn voyait sur son visage, son sourire, ses yeux pétillants, même ses fossettes... Elle le reagarda un moment puis :

- Tu peux avoir de la prémonition ?...

Soudain il eu envie de ... Il pris sa main et la porta à son coeur, là il dit doucement presque un murmure :

- Tu sens comme il bat vite... Resent ton oeuvre, et tu verras que c'est mieux de faire tout dans le présent, non dans le passé... Pour répondre à ta question : oui j'ai le don de voir des moments crucial du futur mais pas sur commande...

Il s'esclaffa, repensent aux gens qui lui avaient demander leur avenir sans l'obtenir. Il continua en souriant :

- Je vois des scènes très nettes, que je dois interprèter, je ne connais pas souvent les gens qui y apparaissent mais depuis que je suis ici ce sont surtout des élèves que je vois ou des professeur, du personnel...
Quand j'ai compris la scène j'essaie de jouer un rôle dans l'histoire, car c'est cela le but. Il y a des problèmes par millier chaque jour mais je vois ceux dans lesquels je peux jouer un rôle, aider, parler, intervenir ...
Bon assez parler de moi, parlons de toi ma Plum'... Comment ca s'est passé après mon départ, tu as poursuivis tes études ? Et tes parents, tu es rester proche de tes amis j'éspère ?

Lorènn se stoppa alors car Plumschia avait fait mine de répondre, il lui rendit son sourire et la laissa parler...

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Après que Lorènn avait avoué le fond de ses pensée, il prit la main moite de la jeune fille et la porta à lui. Il dit, sans presser :

- Tu sens comme il bat vite... Ressens ton œuvre, et tu verras que c'est mieux de faire tout dans le présent, non dans le passé... Pour répondre à ta question : oui j'ai le don de voir des moments crucial du futur mais pas sur commande...

Il fit une pause et rit un peu. *Mais qui avait-il de si drôle ?!* Plumschia n'en avait aucune idée. Elle, elle s'était raidie. Son ami savait vraiment bien parler, il parlait sans jamais rien dire d'inutile, on aurait dit. Ses paroles étaient très agréable à entendre, elle en profita chaque instant. Le jeune homme continua, se reprenant :

- Je vois des scènes très nettes, que je dois interprèter, je ne connais pas souvent les gens qui y apparaissent mais depuis que je suis ici ce sont surtout des élèves que je vois ou des professeur, du personnel...
Quand j'ai compris la scène j'essaie de jouer un rôle dans l'histoire, car c'est cela le but. Il y a des problèmes par millier chaque jour mais je vois ceux dans lesquels je peux jouer un rôle, aider, parler, intervenir...

Elle lui gratifia un petit sourire. Toujours prêt à aider autrui, Lorènn... Il était tellement serviable, quand il le pouvait (et quand il le voulait, évidemment) ! D'un autre côté, s'il a des visions, comme il l'a dit, c'est bien pour en faire quelque chose. Il reprit, vivement :

- Bon assez parler de moi, parlons de toi ma Plum'... Comment ça s'est passé après mon départ, tu as poursuivis tes études ? Et tes parents, tu es restée proche de tes amis j'espère ?

Plumschia prit son temps, en dégageant d'abord sa main. Ils étaient l'un vers l'autre, à présent. Elle prit une longue inspiration, suivi d'un soupir, et parla :

- Je m'en suis jamais remit. Mes amis étaient bien sûr là pour m'aider, mais je n'y arrivais quand même pas. Je me mis en tête chaque jour que je te verrai le lendemain, courant vers moi.

Faisant une pause, elle se re-imagina la scène qu'elle s'était faite, lui courant vers elle, et elle se croyant au paradis. C'était tellement beau... Et pourtant, ce jour là venait d'être arrivé !

- Mes parents, je ne leur adressait plus beaucoup d'attention, car ils n'avaient jamais comprit ma peine. Ensuite, au lycée, je perdis d'autres amis, ce qui m'était encore plus douloureux. Heureusement, on pouvait encore se contacter et se voir, de temps en temps. Mais toi... je t'ai perdu tellement tôt !

Elle leva sa tête vers son ami, l'air surprise, bien que ce moment là était déjà passé. Parti si vite, sans laisser d'adresse, ni de numéro... Elle n'avait plus, mais alors plus du tout, de contact avec Lorènn. Elle sentit de la désolation chez lui, à l'instant présent. Lui aussi, prenait les douleurs de son amie pour siennes. C'était ça, être amis. Plumschia ne savait plus quoi raconter, sa vie n'avait tellement pas d'importance... elle préférait entendre celle de Lorènn. Bien que tous les deux n'allait pas bien depuis leur séparation. Pourtant, en eux, ils savaient qu'ils allaient se revoir... un jour au l'autre. Ils ne croyaient pas qu'ils pourraient finir leurs vies sans se revoir.

La jeune fille retira délicatement sa main et elle dit, un ton d'amertume dans la voix, sopuîrant :

- Je m'en suis jamais remit. Mes amis étaient bien sûr là pour m'aider, mais je n'y arrivais quand même pas. Je me mis en tête chaque jour que je te verrai le lendemain, courant vers moi.

Lorènn était heureux qu'elle ne se soit pas éloigner de ses amis, qu'elle ne soit pas rester dans son coin, seule... Et ses amis l'avaient aidé, ce qui le soulagea ! Selon Plumschia cependant, cela ne lui avait pas vraiment servi. Il se sentait aussi un peu honteux : elle n'avait douté le revoir un jour, elle en rêvais, lui il en avait abondonné l'idée deux ans après son départ. Il n'aivait aucune nouvelle et se sentait oublier de tous, ses parents, ses nouveaux amis ; qui ne le comprenait pas d'ailleurs ! Eux pensent qu'un nouvel ami en remplace un ancien ... complétement stupide !
Plum' s'était arrêté de parler et Lorènn lisait de la mélancolie dans son regard plein de souvenirs heureux ... ou malheureux. Elle fixa d'abord le ciel puis sourit en tournant son regard vers lui. A quoi pense t-elle donc ? Elle reprit plus calme :

- Mes parents, je ne leur adressait plus beaucoup d'attention, car ils n'avaient jamais comprit ma peine. Ensuite, au lycée, je perdis d'autres amis, ce qui m'était encore plus douloureux. Heureusement, on pouvait encore se contacter et se voir, de temps en temps. Mais toi... je t'ai perdu tellement tôt !

Sur la fin, de la tristesse était apparue dans sa voix carillonante et ipnotique... Lorènn grimaca en entendant la première phrase de son amie. A ses parents aussi il n'avait plus beaucoup parler après leur départ, ils étaient insensible aux chagrins des autres, ne s'en souciaient pas. Ils ne se souciaient de rien d'ailleurs ! Décidement tous les parents sont pareils ...! Et Plum' avait encore perdu des amis, Lorènn s'en tenait pour responsable, il avait toujours considérée la jeune fille comme une poupée de porcelaine fragile qu'il fallait absolument protéger et en même temps faire attention à ce qu'on disait ou faisait avec elle. Il compris aujourd'hui qu'il s'était trompé et s'en voulait d'avoir laisser Plum' sans aucune notion d'indépendance ou presque ... Avec ses amis là, elle avait garder une correspondance, ce qui fit sourire Lorènn. Elle était tellemnt adorable, personne ne lui en voulait autrfois, elle devenue une sublime jeune femme encore plus douce et tendre et il ne doutait pas que qu'elle trouva l'amour maintenant ... Il aurait pu écouter sa voix des heures sans jamais se lasser, sans jamais la détester... Il adorait son soprano florale et enjoueur, il l'aimait même.
Une chose l'intriguai toutefois, il voyait que Plum' réagissait quand il ne montrait pas ses émotions, or elle n'aurait pas du savoir ce qu'il ressentait dans ce cas ... normal ! Il demanda soudain en la regardant :

- Et toi, tu n'as pas un don particulier par hasard ?

Il avait mis plus de colère dans sa voix qu'il ne l'aurait voulue t se repris rapidement car elle commencait à ouvrir la bouche :

- Enfin, désolé, il me semble que tu ai des réaction bizzares parfois et je me pose des quetions... Beaucoup de questions, trop d'ailleurs.

Il la regarda alors, les joues en flammes et sourit de ce sourir en coin qui envoutait les filles ...

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Lorènn resta un moment sans rien dire. Quand à Plumschia, elle ne dit plus rien non plus, elle attendait que son ami prenne le temps d'enregistrer...

- Et toi, tu n'as pas un don particulier par hasard ?

La jeune femme prépara sa phrase, cependant qu'elle allait parler, le garçon prit parole :

- Enfin, désolé, il me semble que tu ai des réaction bizarres parfois et je me pose des questions... Beaucoup de questions, trop d'ailleurs.

Il fit un joli petit sourire, qui entraina Plum' à en faire autant et ses joues changèrent de couleur pour aller du rose pâle au rose rose.
"Beaucoup de questions"... Sacré Lorènn ! Il n'a pas changé... (un large sourire s'étendit sur ses lèvres, et le jeune homme n'avait sûrement pas compris ce sourire soudain) Enfin, tous les deux...car ils avaient une énorme curiosité l'un envers l'autre, surtout après un long moment de séparation. Mais cette curiosité avait en fait toujours était vaste... Ils voulaient toujours, toujours savoir chaque détails de la vie de l'autre ! Ils passaient beaucoup de temps à discuter, assis sur un banc à regarder passer les enfants courir après un ballon... Mais eux, ils s'amusaient en se racontant des histoires, vécues ou non.
Plumschia sentit que son confident brûlait d'envie de savoir.

- Je ressens fortement les émotions des gens, dit-elle avec un ton léger.

La fille n'en dit pas plus. Connaissant son ami, il avait largement compris, mais il allait sûrement poser des questions.
Cette curiosité n'avait pas de frontière... et en n'aurait jamais.
Le temps passait à une vitesse ahurissante, trouva Plum', en jetant un rapide coup d'œil à sa montre juste avant que Lorènn prit la parole.

Lorènn regarda son amie avec une angoisse non feinte. Il en disait toujours trop et parfois, sa curiosité pouvait gênée. Cependant, Plum' ne fit que sourir largement et étouffer un petit rire. Le jeune homme resta bouche bée puis décida de sa joindre à cette joie commune...
Bien sûr, Lorènn savait que les questiosn qu'il posait aux gens étaient très... étranges et soudaines. Avec Plum', poser des questions avait toujours été quelque chose de naturel, normal et non pas gênant. Elle aussi lui en demandait beaucoup à certaines occasions et leur retrouvailles ne pourraient pas y réchapper...
Le Sigma se réinstalla sur le banc et passa une main dans ses cheveux comme s'il s'ennuyais.

En vérité, il réfléchissait en attendant la réponse de son amie. Elle ne tarda pas.
Ce fut un son léger et quelque peu hésitant mais les mots étaient parfaitements compréhensibles, comme si elle voulait que ce soit la seul chose audible...

- Je ressens fortement les émotions des gens.

Lorènn ne montra pas sa satisfaction quand elle dit cela car au fond de lui-même, il avait deviner que c'était quelque chose dans ce genre là. Quand on regardait Plumschia, on avait l'impression qu'elle lisait dans le coeur et comprenait ce qu'on ressentait au moment même. Le jeune homme fronca les sourcils et se remit à parler tout seul à une voix très basse...

- Donc, si elle peut savoir quand je suis heureux ou non, c'est...

Il releva la tête et fixa son amie qui avait le visage plein de questions.

- Excuse-moi... j'essaye de comprendre comment ça marche sans te demander...

Il haussa les épaules et étouffa un rire. Ses mains serraient le banc à tel point que les jointures en étaient blanches. Il jeta un regard à la montre de Plum' qu'elle avait déjà regarder plus d'une fois et jura en lui même.

- Il est tard ! Je suis désolée, je t'empêche de partir et tu ne connais même pas les chemins des chambres ! Il détourna la tête. Quel idiot je fais, vient, on parlera sur la route...

Il se leva prestemment et lissa son jean (plus par politesse que par besoin) avant de se retourner vers Plumschia et de lui sourir doucement. Il lui tendit la main et attendit qu'elle se lève elle aussi. Le vent soufflait légérement, faisant voleter ses cheveux sombre et soyeux au briller ses beaux yeux... Lorènn se pinca la lèvre et s renfrogna au fond de lui même avec gêne.
A ce moment, le Don de son amie luié tait sortit de la tête et l'idée qu'une jeune fille si belle soit sa confidente et non plus, le rongea...

[C'est court, désolée éè]

Invité

[court ? Ôo t'es folle, j'fais même pas mieux xD
ps : d'ailleurs, je n'ai pas du tout d'inspi', aujourd'hui OO]

Excuse-moi... j'essaye de comprendre comment ça marche sans te demander...

Il est tard ! Je suis désolée, je t'empêche de partir et tu ne connais même pas les chemins des chambres !

Quel idiot je fais, vient, on parlera sur la route...

[(;]

Lorènn se sentait ridicule ainsi, la main tendue et le regard vide.. Pourquoi avait soudainement tendu la main à son amie ? Pour l'aider à se relever, un geste normal pour un Playboy. La galanterie donc ? ou autre choses de plus... intime ?
Tant de questions tournait dans la tête du jeune homme qui se sentait mal à présent. Il n'aurai pas du faire cela ! Puis, Plum' avait cette manie de toujours lui bourrer le crâne de questions sans aucun sens... elle était si mystérieuse... et si attirante et belle ! Mais non ! Lorènn n'était pas amoureux d'elle, jamais il ne le serait ! Et pourtant... quand la jeune fille prit finalement sa main après quelques minutes d'hésitation réfélchit, Lorènn se sentit frissoner et des sueurs froident lui coururent le long du dos. Il se sentait bien.. et mal et Plumschia semblait être dans la même dilemme que lui. Pourquoi avoir avancer cette fichue main ?!
Mais non, ce n'était pas le geste qui avait déclenché la réaction de sa confidente.
Lorènn jura en lui même et devint soudain rouge de colère contre lui même.. et le pourvoir de la jeune fille.
Evidemment, c'était les battement de son coeur et la sensation de plaisir et d'envie amoureuse mêlée de question qui avait subitement alarmé Plum'. Sous pouvoir, en marche !

Lorènn se reprit après de longues minutes de silence fixe. Il souria à son amie et, serrant sa main avec du mal tout de même, il la mena lentement vers le milieu du Park. Là, il retira délicatement ses doigts et soupira un Oufff intérieur.
Il se posta à côté de son amie et commenca à lui parler de chose insignifiante, pour détendre l'atmosphére trop rigide et froide, à son goût.

- Alors ! Tu a hâte commencer les cours, Plum' ? Tu suis quel Cursus d'ailleur ?

Il s'arrêta et fixa Plum' d'un regard impassible. Lorènn se sentait coupable d'avoir donné de faux espoirs à son amie et jamais il ne se le pardonnerai. Mais, elle était si belle, tant physiquement que phsycologiquement ! Qui ne tomberai pas sous charme hynotique. Pour ca, le jeune ne doutait, elle trouverai quelqu'un bien aser tôt, et son instinct de Sigma lui dictait que ce serai peut être même un dilemme aussi pour ceux de sa conférie de la cotoyer amicalement seulement !
Les deux jeunes gens étaient devant la porte du hall et Lorènn invita finalement Plumschia à entrer à l'intérieur...
Il y faisait frais, la porte étant ouverte mais le vent ne parvenait pas par les ouvertures, arrêter par els fenêtres épaisses du bâtiment blanc. Là, il y avait deux couloirs et un escalier qui menait à l'étage supérieur, c'est devant celuiça que Lorènn s'arrêta et se retourna vers Plum'.

- Voilà. C'est l'escalier qui mène aux chambres des différents confréries ! La tienne, les Epsilon je crois, est tout de suite à gauche. Le Salon est la première porte ! Empreinte là et tu arrivera devant un autre escalier. Prend le et la, tu aura toutes les chambres des étudiants !

Il la regarda, perplexe, ne sachant pas à quoi elle pensait, lui !

- Veux-tu que je t'accompagne pour te montrer le chemin ? Ou tu préfére demeurer seule... et on se verra à un autre moment ?

Le jeune garçon s'étonna à ressentir un malaise à cette seule pensée, mais il s'éfforca de la cacher la plus possible à son amie...