Destinée me voici ■ April (Loading .... 100%)

■ Famille : Ah, ma famille ! C’est tellement compliqué que certains se demandent comment on fait pour parler de famille. Pour commencer, mon père, je ne connais pratiquement rien de lui puisqu’il a quitté la maison alors que j’avais à peine six ans. Je me rappelle de quelques souvenirs mais ils sont très vagues. Je ne le porte pas dans mon cœur, car il n’a pas tenu la promesse qu’il m’avait faite. Mais passons. Ma mère, une femme plutôt dure, mais je la comprends. Elle a dû élever trois enfants en n’ayant pas beaucoup d’argent, c’est normal. En parlant, j’ai un frère et une sœur. Un frère qui parcourt le monde puisqu’il est archéologue. Et ma petite sœur, elle est dans la même université que moi, seulement elle est dans la mode. Ma famille va encore plus loin que ça puisque j’ai une fille de trois ans, Candice qui est ma raison de vivre.
■ Histoire : Voir dessous
■ En amour ? : L’amour a un grand mot que j’ai oublié depuis un long moment. Il faisait partit de ma vie, mais tout s’est écroulé. Je parle bien sûr du père de Candice. Celui avec lequel je pensais faire ma vie, seulement il est partit lorsque j’ai mis au monde mon ange. Depuis ce jour, je n’ai jamais eu de vraies relations. Je préfère ne pas souffrir, même si je dois passer à côté de l’homme parfait. Ça fait trop mal de souffrir, et une deuxième fois serait surement fatal pour mon pauvre cœur. Je préfère me concentrer sur ma fille et mes études. On verra bien ce que le destin me réserve.
■ Et les amitiés ? :On ne choisit pas sa famille mais on choisit sa famille. Et c’est vrai. J’ai toujours eu des amis adorables à qui je pouvais me confier. Et heureusement, je n’ai jamais eu affaire à des menteurs, des trompeurs ou autres choses. Ils me permettent d’avancer dans le monde, et je les remercie pour ça. Sans eux, je ne sais pas comment j’aurais fait. Ils m’ont aidé quand j’ai eu Candice et ils m’aident encore. Je leurs dois tout ça, et je ne sais pas comment je pourrais les remercier un jour.

■ Matière Principale : Criminologie
■ Matières Optionnelle : Biologie
■ Niveau d'intelligence : 85/100
■ Profession ou Petit Job : Serveuse le week-end et les soirs
■ Explication de vos choix/ de votre parcours: J'ai toujours été une enfant studieuse malgré le fait que je sois née dans un quartier malfamé de New York. Au cours de mon enfance, j'ai vu tellement d'attrocités que je me suis dit que je devais faire quelque chose. J'ai donc choisi la criminologie ainsi je pourrais rentrer dans la police ou au sein du FBI. Je veux que tous les malades soient enfermés et ne peuvent plus faire de mal à de pauvres victimes. Les gens ont déjà dû mal à vivre alors pourquoi leurs rendre la vie encore plus dure. J'ai qu'une hâte pouvoir enfermé mon premier assassin en lui jurant qu'il restera enfermé toute sa vie dans sa cellule.

■ (+) Qualité : Sociable ; Souriante ; Patiente ; Sensible ; Maternelle ;
■ (-) Défauts : Hyperactive ; Curieuse ; Solitaire ; Tête de mule ; Jalouse ;
■ Rêve(s) ? : Mon plus grand rêve est de voir ma fille grandir et devenir une femme convenable. Je veux lui donner tout ce que je n’ai pas pu avoir dans ma vie. Elle mérite d’avoir une bonne vie, même si je dois me sacrifier. Elle est tout ce qui compte pour moi. Et j’espère qu’un jour, elle verra tout ce que je fais pour elle. Comme moi, je l’ai vu avec ma mère, et qu’elle me remerciera.
■ Peur(s) ? : J’ai la phobie des araignées, je déteste ces petites bêtes velues qui courent très vite. Dès que j’en vois une, je rentre dans une hystérie folle. Je n’arrive même pas les tuer, combien de fois, j’ai appelé à l’aider quelqu’un. Je ne monte jamais dans un avion, non plus. Je trouve ses appareils pas très convaincants et puis à force de voir, tous ses accidents, ça m’a refroidit. Je me préfère largement prendre ma voiture. Et la dernière chose que je déteste, ce sont les clowns. Et ça, depuis que je suis enfant. Ma mère ne m’emmenait jamais au cirque, car je criais dès que j’en voyais un. Avec tout leur maquillage, ils sont horribles.
■ Description Physique : Je suis une jeune femme plutôt jolie, j'ai de sublimes cheveux longs bruns qui lui arrivent, environs, au milieu du dos. Bruns mais demain, ils peuvent être blonds. Je change très souvent de couleur. J'aime le changement. J'ai de beaux yeux verts qui en envoûte plus d'un, une bouche pulpeuse qu'elle intensifie souvent avec une touche de gloss pour les rendre encore plus sensuelles, un adorable petit nez et de petites fossettes qui me donnent un visage d'ange quand je sourit. Je suis assez grande mesurant tout de même 1m69, tout en étant assez mince, elle pèse dans les cinquante cinq kilos. Pourtant, ça ne me gêne pas plus que cela au contraire, ça donne envie de me protéger encore plus. Il faut avouer que je suis assez fragile. Je met souvent des talons, toute la féminité, la grâce et la posture se portent là-dessus, alors il vaut mieux être un minimum à l'aise avec des chaussures hautes.Je suis plutôt bien formée, ayant ce qu'il faut, là où il faut. Une très jolie poitrine et de très belles fesses bien rebondis. Niveau vestimentaire, je m'habille très à la mode, je suis une jeune femme moderne qui adore être « fashion ». Je le prouve tous les jours en m'habillant le mieux possible, mais je ne suis jamais extravagante, c'est toujours assez classe et classique. Par contre, il faut que tout soit en concordance, si elle a des chaussures rouges, son sac et certains de ses bijoux le seront aussi !

■ Tu aimes, toi, Barack Obama ? : C'est notre président, je le connais pas personellement donc je ne le juge pas. S'il est à cette place maintenant, c'est qu'il le mérite vu tout ce qu'il a fait.
■ Central Park, c'est quoi pour toi ?: L'endroit où je vais jouer avec Candice. Mais l'endroit où je vais réfléchir quand je vais pas bien. J'aime être proche de la nature, ça me permet de m'évader, de penser à autre chose.
■ As-tu peur des fantômes ? : Les fantômes sont des personnes comme tout le monde, à part qu'ils sont morts. Je ne les déteste pas, et ils ne me font pas peurs.
■ Une soirée entre ami(e)s, c'est sacrée pour toi ? :
■ Est-ce que Mickeal Jackson te manque ? : Je n'ai jamais été une véritable fan de M.Jackson. Je connait ses tubes pour les avoir entendu maintes fois. Ca m'a tout de même fait quelque chose quand il est mort. C'était quelqu'un de simple et aimé.
■ New-York ou Paris ? : Les deux. New York, car c'est la vie où je suis née. Je l'adore. Paris, j'aimerais découvrir les rues, les restaurants, visiter les musées.

■ Ton Prénom : Elodie
■ Ton âge : 21 bougies
■ Où as-tu connu le forum ? : PRD
■ Fréquance de connextion : 6/7 jours
■ Le mot de passe:


Spoiler:

■ Autre : Vive le forum

29 Mars 1987, Los Angeles. C’est dans la plus grande ville des Etats-Unis, la ville surnommée NY que ma petite frimousse à vue le jour, dans le quartier du Bronx. Ma mère Mary, une dessinatrice pour livres d’enfant, avait rencontré mon père John, directeur d’une petite entreprise simple et rapporté un minimum, à l’université. Une rencontre qu’ils qualifiaient de banal et de la plus belle chose qui leur étaient arrivé. Je ne vais pas vous la racontez dans les moindres détails sinon j’en aurais pour plusieurs pages. Je vais donc revenir au jour de ma naissance. Ma mère était en salle d’accouchement depuis maintenant cinq heures, quand je sortis ma petite tête.

Infirmière ▬ «C’est une fille Madame Anderson, une petite fille.»
Mary ▬ « Je veux la prendre dans mes bras.»
Infirmière ▬ «Tenez Madame.»

Mes premiers cris résonnèrent jusqu’à la salle d’entente que mon père et ma frère avaient tout entendue. Non, mon père n’était pas dans la salle avec ma mère. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il avait dû garder mon frère, ne trouvant pas de baby-sitter. Mon père pris ma mère dans ses bras en me regardant avec de grands yeux. Même si j’étais leur deuxième enfant, mes parents étaient aussi excités que lors de la naissance d’un premier enfant.

John ▬ « Elle est magnifique. C’est pour cela que nous devons lui donner le prénom de ma grand-mère. Georgina.»
Mary ▬ « Georgina ! Non, elle ne peut pas porter ce prénom.»
John ▬ «Mais…»
Mary ▬ « Elle s’appellera April Rose. Des prénoms nouveaux et beaux.»

Mon père ne dit rien de plus. Quand ma mère disait quelque chose, mon père ne l’a contrarié jamais. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi il était ainsi, mais il parait que l’amour donne des ailes. Durant un certain temps seulement.

Quand la famille se déchire. J’étais en haut de l’escalier, derrière les barreaux entrain de regarder mes parents se disputer. Le sujet de dispute était encore mon frère, ma petite soeur et moi, notre éducation en somme. Chacun mettait la faute sur l’autre pour nos bêtises, ou les difficultés de notre famille. Nous étions pas une des familles les plus riches du quartier, mais on arrivait à vivre correctement. Seulement, ma mère en voulait toujours plus, elle voulait être la plus belle à regarder, avec les plus beaux vêtements, les plus bijoux, la plus belle voiture… et j’en passe. Je détestais les voir se déchirer ainsi. La maison avait le droit à ce spectacle depuis un bon moment. Mais cette fois, tout tourna d’une autre façon.

John ▬ «J’en ai marre que tu agisses comme ça. Tu entends ! »
Mary ▬ « Mais regarde-nous, on vit dans une petite maison dans Le Bronx, tu crois que c'est un endroit pour éléver des enfants, il y a un meurtre toutes les heures. Nos enfants ne peuvent même pas aller dans une bonne école.»
John ▬ «Je n’arrête pas de travailler, je n’ai même pas de temps pour passer un peu de temps avec mes enfants, et toi la seule chose que tu me reproches, c’est qu’il faut qu’on gagne plus.»
Mary ▬ « Mes parents avaient raisons sur le fait que tu ferais pas correcment mon bonheur. J’aurais dû les écouter à l’époque.»
John ▬ «J’en marre, je suis au bout du rouleau. Tu crois que tu peux te débrouiller seule et bien, très bien, je demande le divorce.»

Et puis j’ai vus mon père quittait la maison, sans valise, sans rien dire. Les larmes se mirent à couler sur mes joues. J’étais persuadé que c’était de ma faute, que j’avais fait tout ce mal autours de moi. Il m'avait toujours dit qu'il ne partirait jamais quand je lui demandais pourquoi il se disputait avec maman. Il a trahit notre accords et je lui en veux. Je me mis à courir jusqu’à la chambre de mon frère où la porte était entrouverte. Il vu mes yeux en larmes, il se leva et me prit immédiatement dans ses bras. Chris était le frère parfait, le plus proche de moi et celui qui a toujours été là pour moi depuis le début. Il me demanda ce qui se passait, je lui expliquais tout dans les moindres détails, la dispute, le départ de papa.

Chris ▬ «T’inquiète pas petite sœur, tout va s’arranger. Papa, va revenir.»
April ▬ «Je ne crois pas, Chris. La dispute était différente des autres fois.»
Chris ▬ «Je serais toujours là, Ap'. Tant qu’on sera toutes les deux, tout ira bien.»

Les paroles de Chris me réconfortèrent. Seulement, papa ne revint pas. Si, une seule fois pour prendre ses affaires. Depuis ce jour, je ne le revis jamais. Jamais, il ne redonna de nouvelles de lui. Ma vie n’était pas digne d’un conte de fée. Je travaillais dur à l’école pour qu’il soit fier de moi, je faisais tout pour être la petite fille parfaite. Et pourtant mes parents divorcés comme pratiquement les trois quarts des habitants de New York.

Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Le plus beau jour de ma vie fut quand j’appris que j’étais accepté à la Roosevelt University. Ainsi, je pouvais m’éloigner de ma vie et enfin pouvoir vivre une vie sereine et simple. Mettre de côté les événements pas très agréable qui c’était passé dans ma vie. Ma mère n’a pas été ravie, seulement j’avais travaillé dur pour rentré dans cette université afin de travailler dans la police criminelle. Je ne voulais pas mettre mon rêve de côté alors que j’avais toutes les cartes en main pour y arriver. J'allais pouvoir voler de mes propres ailes et découvrir la vie seule. J'avais vraiment envie de quitter le quartier du Bronx, et je m'installais dans un petit apartement dans un autre quartier meilleur que tout. Ma vie a vraiment changé, j'ai fait la connaissance de personnes adorables mais surtout d'Ethan. Ce fut le coup de foudre dès le premier regard. C'était persuadé que c'était le bon. C'est lui a fait le premier pas vers moi. On a commencé à sortir ensemble en plein hiver. ce fut magique, et magnifique. Je le voyais comme l'homme de ma vie même si lui ne me le disait pas, je pensais qu'il m'aimait autant que je l'aimais.
Cependant, en plein de cours, j'ai eu un malaise. J'ai fini à l'hopital et c'est là qu'ils m'ont annoncé quelques choses qui n'était pas prévu au programme.

Médecin ▬ «Mademoiselle Anderson ?.»
April ▬ «Oui. Alors qu'est-ce que j'ai ? »
Médecin ▬ «Ne vous inquiétez tout va bien, c'est même mieux que ça. Vous êtez enceinte de deux semaines.»
April ▬ «Enceinte ? »
Médecin ▬ «Oui, un petit être est entrain de grandir en vous.»

Je ne m'attendais pas du tout à ça, surtout qu'avec Ethan, on a toujours fait très fait attention. Ah, non peut être pas. Moi qui pensais que ce n'était pas grave, si on ne prenait pas de précaution. Et bien, je me suis trompé. J'étais heureuse. Mais je me demandais comment j'allais l'annoncer à Ethan.

Il me fallut une semaine pour me lancer. Nous étions dans Central Park entrain de boire un café dans les bras l'un de l'autre. Je les regardais dans les yeux et je lui annoncais. Contrairement à ce que je pensais, il l'a bien pris. Il était heureux, il nous imaginait emménager ensemble et tout le tralala.Le bonheur, quoi.

Ma fille, ma bataille
Neuf mois, plus tard, j'étais dans la salle d'accouchement, tenant la main d'Ethan. J'allais avoir une fille, une adorable petite fille, rien de mieux. Je poussais encore et encore, quand j'ai sentit la main d'Ethan me lacher. J'ai tourner la tête pour m'apercevoir qu'il n'était plus là. Il était partit comme un voleur. Candice est née en bonne santé. A l'hopital, le jour d'après, j'ai cru qu'Ethan allait revenir. Seulement, il n'est jamais revenu, jamais.
Je me suis résigner à son départ après une année, j'étais décue par son comportement. Mais je ne voulais pas gâcher la vie de ma fille pour ça. Elle était ce que j'avais eu de plus beau au monde. Ma vie tourne aujourd'hui autours de ce petit ange. Je bats pour que chaque jour soit plus beaux pour elle. Je travaille à côté de l'université afin de pouvoir vivre dans un appartement convenable.

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Bon courage pour la suite de ta présentation !