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 Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me. [finie]

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Gabrielle A. Woody

Gabrielle A. Woody


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MessageSujet: Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me. [finie]   Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] EmptyDim 1 Nov - 23:02

Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 9jzje9ni


●● Présentation:
"Gabrielle A. Woody"




      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 2vwffa8th
      © {Mem0rial FoX}



      GabrielleAliceWoody
      Evan Rachel Wood


      Sexe * Féminin
      Age ; 19 ans
      Date de naissance ; 6 mai 1990
      Lieu de Naissance ; Ottawa
      Groupe ; ETUDIANTE
      Job ou Année d'étude ; 2eme année d’étude
      Situation amoureuse ; Célibataire

      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 690501New_york_is_my_life


      Famille :Sa mère se nomme Eleonor et son père Mike. Ils l’ont adopté à sa sortie de l’hôpital. Ils n’arrivaient pas à avoir d’enfant et ce n'était pas faute d'essayer, et elle n’avait plus de famille. Enfin, qu’est-ce qu’elle en savait ? Elle était amnésique donc elle ne se souvenait même pas avoir eu une famille un jour. Un geste du destin ? Les deux adultes se sont tout de suite pris d'amour pour cette demoiselle et de pitié peu être. Ils ne voulaient pas la laisser au triste sort de ceux qui vont à l'orphelinat. Pour elle, ils ne sont que des tuteurs, même si elle les apprécie. Elle ne sait pas ce que veut vraiment dire la famille. En fait, elle le sait mais ne veut pas le reconnaitre. Elle a peur de s’attacher, blocage affectif datant surement de l’enfance diraient les psychologues si ils le savaient. Mais comment savoir quand on ne se rappelle pas de son enfance. Ou du moins de pas toute son enfance, le peu qu’elle se souvient pourrait bien confirmer cette hypothèse. Elle éprouve comme même quelque élan d'affection pour eux, elle sait qu'elle leur doit beaucoup et n'arrive pas à les détester de l'avoir sauver. Pour eux, elle est un don du ciel, une récompense pour leur dur labeur, un présent du tout puissant. Ils se moquent totalement de ses sauts d’humeur, de ses sarcasmes, ou encore du fait qu’elle n’ait pas de passé. Ils l’aiment comme on aime son enfant. Pas de chance pour eux, ils sont tombés sur une teigne qui n’a pas la langue dans sa poche quand elle est de mauvaise humeur ce qui arrive souvent. Certains se demandent même si elle est de bonnes humeurs des fois, au moins une fois dans sa courte vie qui a faillit être drôlement écourtée.
      En se faisant adopté Gabrielle a gagné une famille qui l'aime, une grande famille affectueuse. A leurs yeux, elle est la personne qui a redonné le gout de la vie à Eleonor et Mike. Bien sur personne n'arrive à ignorer son sale caractère mais ils mettent ça sur le dos de l'adolescence. Pour ces gens, la famille est très importante et il n'est pas question de ne pas aimer Gabrielle. Ils trouvent tous qu’elle a un air d’ange et que son caractère bien trempé doit être du à ce qu’elle a vécu. Ses grands-parents lui font souvent la remarque qu'elle est mignonne, drôlement intelligente ... Le seul pour qui Gabrielle s'est vraiment pris d'affection, c'est son cousin. Il avait seulement quatre mois quand elle a été adoptée. Elle l’a tout de suite trouvé si fragile, si mignon. La première fois qu’elle l’a vu, elle a sourit et l’a pris dans ses bras. La famille a tour s’est lancé des regards du genre : « Finalement, elle est capable d’aimer ».
      Mais avant ça, elle a eu une autre famille. Deux à vrai dire. Mais elle ne se souvient plus ou moins que de la première. Elle avait une mère adorable, un père détestable. Elle se souvient du regard chaleureux de sa mère, et des cris de son père. Non, ce dont elle se souvient vraiment c’est de son frère et de sa sœur. Alice. Elle a vu ce nom dans le journal, à la page décès… Alice Woody. C’est pour cela qu’elle a prit le nom de famille de Woody. L’article disait qu’elle laissait derrière elle un frère, une sœur et deux parents. Elle disait aussi que le meurtrier présumé était le père de l’enfant. Dans le même journal deux semaines plus tard, il annonçait la mort du père et le placement en famille d’accueil des deux enfants restant. Gabrielle revoit la tête blonde et les yeux verts de sa sœur, sa grande sœur. Elle était magnifique, une beauté inhumaine presque. Elle avait quinze ans.

      Histoire :
      En amour ? : O amor é o que eu penso quando vejo você. L’amour tout puissant, l’amour éternel. Pas grand monde pourrait penser que Gabrielle croit en l’amour et pour tant, et pourtant… Elle y croit. Elle ne pense pas que le prince charmant existe, elle a trop vécu pour croire à ça, mais elle pense qu’il existe quelque part quelqu’un que l’on aimera plus que tous, qui sera tout pour nous. Reste plus qu’à le trouver. Elle ne souvient que d’un visage, ne se rappelle ni son nom, ni quand, ni comment, mais elle se rappelle qu’elle l’aimait pour de vrai. Mais elle l’aimait comment : comme un frère, comme un ami, comme plus … elle ne le sait pas. Elle veut le retrouver. Elle pense qu’il sait des choses sur elle, elle sait que ce n’était pas que des bisous par-ci par-là, que c’est aller plus loin. Mais malheureusement sans nom, ce n’est pas si simple que ça. Ca c’est les grandes lignes, après dans la vie de tous les jours… Depuis son réveil à l’hôpital Gabrielle n’a pas été amoureuse, je ne dis pas qu’elle n’a pas eu de relation juste qu’elle n’était pas amoureuse. Comme elle n’est pas vraiment une sainte, elle n’est pas vierge. Elle n’a pas vraiment eu de copain, peut être un ou deux en y repensant bien. Elle n’a pas envie de s’attacher à quelqu’un. Encore au lycée, cela ne cachait jamais rien de sérieux mais maintenant à la fac elle a peur que l’autre attende plus que ce qu’elle a envie de lui donner. Si elle a derrière elle un certains nombres d’histoires d’un soir, pas beaucoup pour une étudiante, elle n’a eu aucun copains en deux ans et en est assez contente. De toute façon, pense-t-elle sans être totalement sérieuse, faudrait déjà qu’elle laisse un homme l’approcher pour pouvoir sortir avec.

      Et les amitiés ? :Gabrielle n’a pas une farandole d’amis, ce qui ne veut pas dire pour au tant qu’elle n’en a pas. Ce qui est compréhensible puisqu’elle a tendance à envoyer promener très, loin les gens plutôt que den simplement répondre « bonjour ». Ce qui fait aussi qu’elle n’ait pas beaucoup d’amis c’est qu’elle est limite associable. Elle ne supporte pas qu’on essaye de la changer, avec elle il faut prendre les pincettes. Mais elle en a comme même quelques uns et pour eux elle serait prête à beaucoup. Plus qu’on ne peut le croire car Gabrielle n’est pas une étudiante comme les autres, elle n’a pas les mêmes limites ni la même façon de voir les choses. Elle n’est pas du genre à dire aux gens ce qu’elle les apprécie mais elle leur fait comprendre, en étant gentille avec par exemple ou avec pleins de petites attentions qui touchent le cœur. Ce qu’elle veut c’est simplement qu’ils soient heureux et bien dans leur peau, son propre bonheur personnel passe après celui des personnes à qui elle tient. C’est ainsi et pas autrement. Elle veut les protéger, que la vie soit plus gentille avec eux qu’elle ne l’a été avec elle. Et puis s’ils sont ses amis c’est qu’ils l’apprécient. Et pour ça, elle leur est éternellement reconnaissante. Car elle sait qu’elle a de vrais amis qui ne la poignarderont pas quand elle aura le dos tourné mais qui la relèveront quand elle tombera. De toute façon pour la poignarder il faudrait l’approcher assez et être assez rapide.


      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 341972roosevelt_my_story___


      Matière Principale : Météorologie
      Matières Optionnelle : Botanique || Français
      Niveau d'intelligence : 90/100
      Profession ou Petit Job : Serveuse dans un café à Manhattan
      Explication de vos choix/ de votre parcours: Le ciel, voilà la passion de Gabrielle depuis bien des années. Comprendre et prévoir le temps qu’il fait, cela l’a toujours fasciné. Elle aime étudier les phénomènes tels que les cyclones et les tempêtes, les moussons et les pluies… Elle sait que la clémence ou pas de ciel joue un rôle très important dans la vie de tous chaque jour. Il n’est pas rare de la voir lever les yeux vers le bleu d’en haut et l’entendre dire qu’il va pleuvoir alors qu’il fait beau ciel. C’est sa passion la météorologie et elle est très heureuse de pouvoir l’étudier à Roosevelt. Pour la botanique, c’est aussi une passion mais bien moins grande. Elle a la main verte et dans son enfance elle aimait bien jardiner avec sa mère. Elle comprend toujours de quoi les plantes ont besoins et comme la météorologie c’est un plaisir de l’étudier. Elle peut ainsi développer ses connaissances en la matière. Pour la langue étudiée le choix fut dur. Gabrielle parle couramment anglais, comme tous les américains, mais aussi portugais. Elle aurait bien aimé apprendre cette langue en cour, car elle ne la maitrise qu’à l’oral et ne sait pas l’écrire ou seulement très peu. Elle a aussi quelques notions d'italien car sa famille adoptive est italienne, et comme pour la portugais c'est seulement orale. Pourtant elle a choisi français. Pourquoi ? Parce qu’elle sait d’après ces souvenirs peu nombreux qu’elle parlait français dans son enfance, logique puisqu’elle est canadienne. Mais sa connaissance de cette langue s’est perdue avec les années, et surtout en même temps que ses souvenirs. Elle espère retrouver sa langue « maternelle » mais également ainsi quelques souvenirs d’avant.


      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 449157new_york_is_very_beautiful


      (+) Qualité : Intelligente ; Réfléchie ; Sur d’elle ; Compréhensive ; Observatrice ; Drôle ; Respectueuse ; Sportive ; Aimante ; Courageuse ; Discrète ;
      (-) Défauts : Froide ; Silencieuse ; Têtue ; Maline ; Méprisante ; Dangereuse , Calculatrice ; Impulsive ; Manipulatrice ; Effacée ; Réservée ;

      Rêve(s) ? : Le plus grand rêve de Gabrielle est de retrouver la mémoire. Toute sa mémoire et non juste quelques flash-back comme elle en a. Elle sait que son passé est probablement pour beaucoup dans ce qu’elle est devenue. Elle n’a pas honte mais aimerait tout de même savoir pourquoi. Après comme tout le monde, elle a de petits rêves : devenir météorologue, réussir ses études, garder son job … Mais cela est si peu important à ses yeux comparé à redécouvrir son passé, à retrouver son ancienne famille qu’elle ne les considère pas comme des rêves.

      Peur(s) ? : La seule personne dont Gabrielle a vraiment peur c’est elle. Oui, elle se terrorise. Pourquoi ? Parce qu’elle ne sait pas où sont ses limites, elle ne sait pas de quoi elle est capable et le peu qu’elle sait effraierait plus d’une personne. Elle sait qu’elle est dangereuse, qu’elle a fait des choses pas bien mais elle ne sait pas en quoi consistent certaines. Elle ne se souvient plus. Si non, elle n’a pas peur de grand-chose. A-t-elle seulement peur d’autre chose que d’elle-même ? Si on lui demande, elle répondra non sans hésiter. C’est ça qui la rend si dangereuse. Mais elle a peut être comme même peur de l’avenir et du passé, du temps pour résumer.

      Description Physique : Ce n’est pas pour rien que l’on a prit Gabrielle pour un ange et qu’on l’ai appelé Anjo. Elle ressemble à un ange tombé du ciel pour nous sauver, bien qu’elle ait plutôt tendance à croire qu’elle vient de l’enfer pour nous y renvoyer. Son corps est fin, tellement fin qu’on pourrait croire le brise en claquant des doigts, mais pas maigre pour au tant. Elle a pour ainsi dire presque aucune forme et cela ne la gêne pas bien au contraire puisqu’elle est une sportive non de haute compétition mais assidue et régulière. Le sport lui a donné une musculature allongée, pas une grande force, mais une agilité et une vitesse impressionnante. Elle est souple, très souple ceci encore une fois poussé au maximum, et non à ses limites, par la gymnastique qu’elle pratique depuis sa sortie de l’hôpital. Elle n’est pas très grande, de taille moyenne dirions-nous, mais cela ne se voit pas beaucoup, non pas presqu’elle porte des talons mais parce qu’elle se tient bien droite et qu’un seul regard peut vous réduire à néant, ou presque. Elle se déplace avec une grâce féline et semble glisser sur le sol plus que marcher. Pour accentuer, cette impression qu’elle est un ange, Gabrielle a un visage fin avec des traits doux, malgré le regard glacé de ses yeux bleus. Elle a une jolie fine bouche pâle dont la couleur est presque la même que celle de sa peau. Gabrielle a une auréole blonde pour chevelure. Elle les laisse généralement pousser assez longs pour ensuite les couper aux épaules et ainsi de suite. Ce n’est pas dans ses habitudes de les attacher parce que ça découvrirait trop son visage.


      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 347806roosevelt_its_a_lot_of____copie


      Tu aimes, toi, Barack Obama ? : Je ne l’aime pas, je ne le déteste pas. C’est un politique
      Central Park, c'est quoi pour toi ?: Trop bruyant et trop peuplé.
      As-tu peur des fantômes ? : Non.
      Une soirée entre ami(e)s, c'est sacrée pour toi ? : Non.
      Est-ce que Mickeal Jackson te manque ? : Non.
      New-York ou Paris ? : New-York.


      Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] 625454blablaaaaaaaaaaaaa


      Ton Prénom : Ah ! Ah !
      Ton âge : Biiip.
      Où as-tu connu le forum ? : Mystery et boule de gomme
      Fréquance de connextion : 0/7 jours
      Le mot de passe:
      Spoiler:
      Autre : Je vais me faire démasquer ! =p
      En cour.


    By Lulu'. Don't Touch !.


    Dernière édition par Gabrielle A. Woody le Mer 4 Nov - 20:21, édité 12 fois
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    Ledwine G. Wedenson

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    MessageSujet: Re: Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me. [finie]   Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] EmptyLun 2 Nov - 12:41

    Hiepp !
    Bonne chance pour ta fiche Gaby' <3
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    MessageSujet: Re: Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me. [finie]   Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] EmptyLun 2 Nov - 13:46

    welcome !
    bonne chance pour ta fiche !
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    Gabrielle A. Woody

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    MessageSujet: Re: Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me. [finie]   Eu sou a noite, o anjo da noite, o seu pior pesadelo. Ajude-me.  [finie] EmptyLun 2 Nov - 14:31

    Merci toutes les deux.

    Si je manque de place je mettrais mon histoire ici



    Histoire : Il faisait chaud, très chaud, trop chaud. Le paysage dansait sous ces yeux. La chaleur lui aurait-elle fait perdre la tête ? Ou était-ce autre chose ? Elle ne marchait pas très droit et sans savoir où elle allait. Une seule idée en tête : il fallait qu’elle trouve de l’aide. Sa vue s’éclaircie malgré les points noir qui tournoyaient. La route. Elle avait gagnée la route. Quelle route ? Où était-elle donc ? Elle passa la rambarde et s’y accrocha fiévreusement. Elle avança. Elle ne savait pas où elle allait mais elle avançait. Elle finit par tomber à genou. La douleur était-elle due au choc ou datait-elle d’avant ? Elle voyait un filet rouge se répandre : du sang ! Son sang. Le sol se rapprocha dangereusement et quelque chose de chaud toucha sa joue. Elle gardait les yeux grands ouverts mais ne voyait que de point noirs qui dansaient et quelques touches de couleur par endroit. Elle avait mal, trop mal. Ce n’était pas normal. Elle sombra tout doucement comme si on coupait les fils qui la retenait ici un par un. Son esprit délira.

    - Maman ? Mamaaaaan !
    Une enfant qui riait aux éclats. Elle sauta dans les bras de sa mère et la serra très très fort. Sa grande sœur, qui était derrière assise sur le canapé, sourit. Elle aimait beaucoup la petite et voulait la préserver.
    - Oui, c’est moi mon ange.
    - Tu m’as manqué.

    L’enfant parlait avec la voix d’un bambin de deux ans et sa voix était douce et fluette. Son aînée se leva et la prit des bras de sa mère en embrassant sa tête.
    - Maman est très épuisée par le voyage alors tu vas la laisser se reposer, lui expliqua-t-elle.
    Mais le regard qu’elles échangèrent n’échappa pas à la petite, de même que les hématomes qui couvrait les poignets de sa mère. Elle avait si souvent vu les même sur ceux de sa sœur. Elle savait très bien d’où elle venait et qui leur faisait ça. Elle avait à peine cinq ans.


    - Mademoiselle ! Mademoiselle ! MADEMOISELLE !
    Quel était donc ce bruit si peu agréable. Et pourquoi voyait-elle tout rouge comme si ses yeux étaient recouverts d’un voile de cette couleur ? Elle voulu ouvrir la bouche et commença même quand un son insupportable se fit entendre. Elle referma précipitamment la bouche et le son disparut. Elle comprit que c’était elle et se promit de ne pas rouvrir la bouche avant d’être sur de comment on fait pour parler. Elle passa une main sur ses yeux et comprit que le voile rouge n’était d’autre que ses paupières. Elle se força à les ouvrir. Sa vision s’emplit de taches blanches. De la lumière. Elle plissa les yeux et attendit de s’y habituer.
    - Bonjour Mademoiselle ?
    Elle tourna la tête et vit quelqu’un en blouse blanche. Un médecin. Pourvu que ce ne soit pas un psy. Pourquoi pensait-elle ça ? Qu’avait-elle contre les psy ? Elle essaya de se souvenir mais ne réussit pas, comme si sa mémoire était vide.
    - Je suis le Docteur Morow et c’est moi qui me suis occupé de vous pendant votre coma. Pouvez-vous me dire votre nom ?
    Coma ? Elle avait été dans le coma ? Cela expliquerait peut être sa perte de mémoire. Elle avait beau fouiller toute sa tête, elle ne se souvenait que de ce bout de route et de cette enfant dans les bras de sa mère. Son nom ? Elle ne s’en souvenait même pas. Elle eut soudain peur, très peur. Qui était-elle ? Elle ne se souvenait même pas de qui elle était.
    - Non. Sa voix était à peine audible, elle haussa le ton et ce coup si sa voix était froide, méchante presque. Non, je ne m’en souviens pas !
    - Vous souvenez vous de quelque chose ?
    - Je viens de vous dire que je ne me souvenais pas !

    Elle avait crié. Fort. Très fort. Le médecin eut l’air surprit et nota quelque chose dans son carnet. Il était clair qu’il pensait qu’elle n’avait pas toute sa tête. Mais elle, elle pensait qu’il n’avait pas autre chose à faire que de lui poser des questions alors qu’elle venait à peine de reprendre conscience.
    Elle passa plus d’une semaine clouée au lit pour son plus grand énervement. Elle ne supportait pas de rester là, comme une incapable. Durant cette semaine, elle apprit néanmoins certaines choses. Déjà qu’on l’avait retrouvée un soir d’été, ensanglantée, au bord d’une autoroute de campagne. Elle fit la connaissance de Eleonor et Mike, le couple qui l’avait trouvé. On lui apprit qu’elle s’appelait surement Gabrielle puisque tous les habits qu’elle portait ce jour là avaient d’écrit sur leur étiquette « Gabrielle ». Mike et Eleonor lui firent part de leur désir de l’adopter si on ne retrouvait pas sa famille Ils lui apprirent que dans ce cas là, ils pensaient lui donne comme deuxième prénom Alice puisque c’est le nom qu’elle avait crié lors des ses délires comateux.
    Il lui fallut deux semaines avant de ressortir de l’hôpital. Personne, ni journaux ni humains, n’avait parlé de la disparition d’une jeune fille d’environ quinze ans et personne n’était venue la réclamée. Elle alla donc vivre chez Mr. et Mrs Robson. Elle devient leur fille. Ils lui dirent que si bien sur elle retrouvait trace de son passé, elle pourrait changer de nom de famille. Elle leur fut très reconnaissante. Quels jours plus tard toute la famille était réunie pour l’accueillir. C’est ce jour là quelle tomba sous le charme de son cousin de quatre mois.

    - Alice, pourquoi les oiseaux ont des ailes ?
    - Pour pouvoir voler assez haut pour que les chats ne les attrapent pas.

    La petite rigola et essaya encore une fois d’attraper les oiseaux avec ses petites mains. Elle riait aux éclats et sa grande sœur la regardait tendrement. La petite sauta des genoux d’Alice et courut dans le jardin. Alice se leva quand une voiture rentra dans l’allée dans une sorte de dérapage. La jeune fille se stoppa et son regard se changea dans une sorte de terreur suprême. La fillette regardait sa sœur et malgré son jeune âge elle savait ce que ce regard voulait dire.


    Le lycée, un cauchemar sur terre. C’était surement le dernier endroit où Gabrielle voulait passer ses journées. Et pourtant… Elle était là, devant l’entrée de l’espèce de cour/parc de cet établissement scolaire. Elle repoussa encore un peu plus son sac sur son épaule et entra. Elle vit des gens lui sourire d’autres la saluer. Elle, elle marchait droit devant sans jeter un regard à personnes. Pourquoi serait-elle polie avec eux ? Soudain un jeune homme lui rentra dedans. Elle perdit un peu l’équilibre et se raccrocha à sa chemise pour ne pas tomber. Elle finit par se détacher de lui, passer une main dans ses cheveux avant de le regarder. Elle eut le souffle coupé. Pas à cause de sa beauté, bien qu’il fut beau, mais plus par son regard. Ce regard qu’elle avait tant vu dans le miroir. Son regard.
    - Excuse moi tu ne t’es pas fait mal ?
    Gabrielle redescendit sur terre. Il avait une voix grave mais si froide comme la sienne. Elle lui sourit.
    - Non pas du tout. Et toi ?
    - Non plus.
    - Désolé, j’étais ailleurs, je ne regardais pas où je m’étais les pieds.

    Il lui sourit en levant les yeux au ciel. Du genre, pourquoi est-ce qu’elle s’excuse ? Elle fit de même devant la tête du garçon. Ils se regardèrent et rirent.
    - Je m’appelle Axel et toi ?
    - Gabrielle.
    - Ca te va bien.

    Elle lui sourit et ils rentrèrent dans l’établissement. En lisant les listes, ils virent qu’ils étaient dans la même classe.

    - Gabrielle
    Un cri d’enfant et un rire de fillette. Pourtant c’étaient deux adolescents qu’elle voit. Cette blonde serait-ce elle ? Et ce jeune homme qui était-ce ? Quelle était cette façon qu’il a de la regarder ? Comment s’appelait ce sentiment ?
    - Gabrielle, ne refais jamais ça !
    Il l’attrapa par la taille et l’attira à lui. Il passa une main dans les cheveux blonds de la fille, tout en appuyant son front contre le sien. Il avait l’air soulagé, en colère et heureux, profondément heureux.
    - Pourquoi ? C’était drôle.
    Pas de doute, cette demoiselle blonde c’était bien elle. Etait-ce un de ses souvenirs perdus ? Qui était ce garçon ? Qu’était-il devenu depuis tout ce temps ?
    - Non. J’ai eu si peur.


    Gabrielle se réveilla en sursaut. Elle regarda au tour d’elle et vit qu’elle était seulement dans sa chambre. Elle s’essaya du revers de la main le front en repensant à son rêve. Elle était sur que c’était l’un de ses souvenirs mais elle n’arrivait pas à mettre la main dessus totalement. Il manquait tant de chose. Qui était ce garçon ? Qu’est-ce qui les unissaient ? Où se trouvaient-ils ? Elle en avait marre de se poser toutes ces questions. Gabrielle se leva et alla dans la salle de bain. Elle s’aspergea le visage d’eau et contempla dans le miroir. Elle était perturbée et elle savait quoi faire pour se détendre. Elle s’habilla rapidement, prit un gros sac posé au pied de son lit et quitta la maison.
    Elle allait faire comme toujours quand elle se sentait mal : elle allait faire du sport. Elle pratiquait couramment la gymnastique et aïkido. Elle excellait dans ses deux sports. Le seul qui arrivait à la défier était Axel et encore ce n’était que pour l’aïkido. Axel, son meilleur ami, le seul. Cela faisait maintenant plus d’un an qu’ils s’étaient rencontrés et ils ne se lâchaient pas. Alors les rumeurs allaient de bons trains sur leur relation mais ce n’était que de l’amitié. Il la comprenait te l’écoutait.
    C’était lui qui lui avait dit qu’elle avait un accent canadien et c’était avec lui qu’elle s’était rendu compte qu’elle parlait un peu français. C’était avec lui qu’elle avait épluché les journaux canadiens. C’était avec lui qu’elle avait trouvé une annonce déclarant la disparition d’une famille dans un accident de voiture il y a environ un an, cette famille avait une jeune fille du nom de Gabrielle, née à Ottawa. C’est lui aussi qui avait trouvé les deux articles. Le premier déclarait la mort d’une certaines Alice Woody ; Gabrielle se souvenait d’une sœur portant le prénom d’Alice ; dont le meurtrier présumé était le père de la fille. Et le deuxième annonçant la mort du père de la dénommée Alice. Gabrielle a à la suite de ça fait des recherches. Et elle a découvert que cette Alice était sa grande sœur, les gens du quartier où elle aurait vécu petite l’on tout de suite reconnue quand elle y est allée en voyage de classe. Gabrielle a parlé à ses parents adoptifs, maintenant ce n’est plus Gabrielle Robson mais Gabrielle Woody.
    Ah Alex. C’est lui qui l’avait présenté aux líderes, qui l’avait aidée à se faire acceptée. Lui qui avait gratté la surface pour découvrir aux yeux de tous l’Anjo qu’elle était. Son coéquipier, ils devaient être l’équipe qui donnait les meilleurs résultats depuis une éternité. Ils étaient montés bien vite en grade. Gabrielle n’avait aucune honte. Elle voyait ce qu’elle faisait avec froideur, avec un détachement inhumain. D’où cette froideur face à la mort lui venait-elle ? Pourquoi tuer la touchait-elle si peu ? Car c’est ça qu’ils faisaient : ils tuaient. Ils étaient l’équipe de tueurs d’un gang. Des rumeurs courraient sur le fait que ces meurtres étaient faits par une jeune femme blonde. C’est de là qu’est venu son surnom « Anjo das Trevas ».

    Une robe noire achetée pour l’occasion. Une rose blanche comme les nuages. Une tombe de marbre. Un chagrin pour grand que l’univers. Une innocence perdue.
    Elle savait. Oh, oui elle savait qui avait fait ça. Elle savait qui l’avait privé de son Alice. Elle savait à cause de qui elle était là devant cette tombe. Elle savait que l’homme qui l’attendait, en faisant semblant de pleurer, pour la ramener chez elle était le meurtrier de sa sœur. Elle le savait, et elle savait ce qu’elle allait faire. Elle pleura. Sa main se serra sur un petit objet dans poche. Elle jeta la rose.
    Une demi-heure plus tard, l’homme se gara dans la rue plutôt que dans l’allée comme si il savait dé jà ce qui allait se passer. A l’arrière la petite fille toujours aussi silencieuse. Son regard avait changé. Perdue toute l’innocence de l’enfance, celle-ci avait été remplacé par un froid, un froid qui fait peur.
    Elle sortit de la voiture et ferma la porte, fort, sans un bruit. Elle recula de quelque pas et l’homme commença à ce demander ce qui se passait. Il l’appela, la questionna mais elle resta là, silencieuse à le regarder au fond des yeux, les mains dans son dos.
    Puis elle leva la main. Elle tenait dans sa petite poigne une allument en flamme, couverte d’huile. Elle la jeta, de toutes ses forces, sur la voiture. Une demi seconde plus tard, l’engin explosa et la fillette se retrouve projeter au sol. Elle avait vengé sa sœur.


    Ils étaient là assis tous les deux et ils regardaient le soleil se coucher. L’année scolaire venait de toucher à sa fin, les épreuves du bac avec. Plutôt qu’aller fêter ça en se soulant la gueule, ils préféraient être là que tous les deux et regarder le soleil disparaitre.
    - Est-ce que tu regrette ?
    Axel se tourna vers Gabrielle en fronçant les sourcils. Pourquoi lui posait-elle cette question ? Il avait si peur qu’elle est des remords. Il savait trop bien ce qui attendait ce genre de personne.
    - Regretter quoi ?
    - Ne fais pas l’idiot. Tu sais très bien de quoi je parle. Je parle de ce qu’on a fait.

    Le jeune homme soupira. Elle avait parlé avec une toute petite voix. La voix qu’elle avait quand quelque chose la dérangeait, la tracassait. Il savait qu’il ne pouvait pas lui mentir et qu’elle connaissait déjà la réponse.
    - Oui, j’ai des remords. Je ne regrette pas, mais j’aurais aimé ne pas le faire.
    - Il ne faut pas ! Tu sais ce qui t’attend si tu le fait.

    Elle avait l’air de panique. Elle s’était brusquement tourner vers son ami, parce que jusqu’à lors elle regardait au loin, et lui avait prit les mains. Son regard était rempli de peur. Axel en fut perturbé, jamais il ne l’avait vu avoir peur.
    - Je n’y peux rien. Crois-moi, je préférais être comme toi et arriver à en faire abstraction mais je ne peux pas. Je sais ce qui va m’arriver.
    Gabrielle inspira un bon coup. Et se leva. Elle continuait de le regarder droit dans les yeux comme si elle voulait lui faire comprendre quelque chose.
    - Reste avec moi, je t’en prie.
    Elle avait à peine chuchoté mais il l’avait comme même entendu. Elle ne voulait pas le perdre, c’était son ami et elle tenait à lui beaucoup. Il eut envie de se lever, de l’embrasser, de lui dire qu’il l’aimait mais il savait qu’il était son ami et qu’un ami n’avait pas à faire ou dire ça. Elle reprit enfin la parole.
    - Je sais enfin qui est ma première victime. Je n’ai aucun remord. Voilà pourquoi tuer ne me gêne pas.
    Elle partit.

    Elle le regarde. Comme tous les soirs depuis le début des vacances, il est là assit, les pieds dans le vide, à regarder le soleil disparaitre à l’horizon. Elle soupire. Elle ne veut pas, elle ne peut pas.
    - Gabrielle. Je sais que t’es là, viens.
    Il sait très bien pourquoi elle est là, il l’a deviné. Pourtant il ne lui en veut pas. Elle s’avance tout doucement. Elle porte une robe blanche, la même que le jour où ils sont se rencontrer. Il apprécie le geste, il se dit qu’il a bien profiter d’être à ses côtés. Elle s’assoit à côté de lui et lance ses jambes dans le vide.
    - Je suis déçu qu’ils t’aient choisi toi. C’est logique mais je …
    - Tu aurais voulu que quelqu’un d’autre que ton amie fasse le sale boulot. Je crois que je commence à comprendre le sens du mot remord. Je n’arrive pas à me décider de te tuer.
    - Pourtant tu es là, ce soir…

    Il prit un poignard à sa ceinture et le posa dans la main de Gabrielle qu’il referma. Il se mit à genou et prit le poignet de son amie dans sa main, il dirigea la lame droit vers son cœur. De l’autre main, il attrapa le visage de la jeune fille et posa doucement un baiser sur ses lèvres.
    - Une belle mort…
    Et il enfonça le couteau dans sa poitrine. Gabrielle cria.

    - Tu lui manque tu sais.
    - Je sais.
    - Tu pourrais aller la voir de temps en temps, comme tu viens me voir.
    - Je ne peux pas.
    - Pourquoi ? Que s’est-il passé le jour de l’enterrement d’Alice pour que tu sois devenue comme ça.
    - Parce que !
    Elle criait. Parce que toi aussi tu relis ce jour à Alice alors que notre père est mort ce jour. Parce que toi tu n’as rien pu voir ! Et tu voudrais que j’oublie tout, sans savoir quoi, et que j’aille comme même la voir.
    Sa voix était redevenue murmure. C’était la première fois qu’il se disputait. Jamais au pars avant, alors qu’ils avaient pourtant quatorze ans, une dispute ne les avaient opposé. Il la regardait avec de grands yeux. Elle reprit, imperturbable.
    - Elle, elle a tout comprit. Elle aimait notre père. Je ne veux pas affronter son regard. Je sais c’est lâche. Mais elle m’en voudrait, alors qu’elle n’avait rien fait elle non plus. Moi, je savais peut être ce qui se passait mais j’avais sept ans. Elle, elle savait et elle est une adulte. C’est sa faut au tant que la mienne, mais surtout la sienne si Alice est morte. Oh, bien sur, la faute revient au meurtrier.
    - Qu’est-ce que tu raconte ? De quoi tu parles.
    - Je ne veux pas t’expliquer ce que tu ne voyais pas à l’époque, c’est trop long, trop dur. J’essaye de te faire comprendre que ni moi ni elle ne voulons de cette rencontre. Que je lui manque peut être mais qu’elle ne me manque pas le moins du monde. Je suis bien ici et maintenant. Si tu es contre, vas-t-en.

    Il la regardait dans les yeux, se demandant si c’était bien elle. Il commençait seulement à apercevoir ce qu’était sa sœur. Il se leva et ramassa son sac. Son regard sur elle se fit plus dur, alors que pourtant il ne savait toujours pas les évènements qui les avaient envoyés en famille d’accueil. Elle, elle maudissait la bêtise de son frère. Il émit un son méprisant et partit, sans un regard en arrière. Elle, restée seule avec sa colère froide, regardait les feuilles d’arbre tombées. Elle n’aimait décidément pas l’automne.


    Une invitation sous la pluie. L’enveloppe sous le fairepart, comme laissait à l’abandon dans une fuite précipiter. Une douleur trop forte réveillée par le papier noir.
    Le cimetière, une cérémonie funèbre qui se déroule dans le plus grand silence. Un peu plus loin, une jeune fille qui semble se cachait derrière un arbre. Elle porte une robe blanche avec une écharpa noire. Dans sa main elle tient une rose blanche et une autre rouge. Le cercueil s’enfonce dans la terre. Elle pleure. Rageusement, elle jette la rose blanche au sol et part, la rouge toujours dans la main.
    Une fille blottit dans son canapé, enroulé dans une couette, le pot de pop-corn sur la table, une main au tour des genoux l’autre tenant la télé commande. Le JT. Zapper. Encore un autre JT, toujours le même reportage. Elle pousse un cri rageur et jette la télécommande au sol. Elle enfouit sa tête entre ses bras et pleure. Elle connait ce reportage par cœur. L’annonce de la découverte du corps d’un jeune de la ville, sa procession funèbre et les découvertes accompagnant sa mort : qu’il était un tueur, la démantelassions d’un gang au quel il appartenait et le fait que seul une jeune femme qui devait être sa coéquipière échappait encore à la justice et que devant le peu de preuve de son existence l’abandon des recherches.
    - Chérie ?
    Gabrielle se retourne et voit que ce n’est que sa mère. Elle lui sourit mais ses yeux pleurent. Eleonor poussa un faible cri et alla s’assoir à côté de sa fille. Elle la prit dans ses bras te la berça jusqu’à que les larmes se tarissent et cela prit du temps.
    - Tu sais comment il est mort.
    Gabrielle hocha la tête. Oui, elle sait. Il est mort parce qu’elle l’a tué. Et elle n’a même pas été capable de le tuer complètement, elle a eu besoin qu’il transforma ça en une sorte de suicide. De toute façon c’était plus une affirmation qu’une question.
    - Que vas-tu faire ?
    - Ce que j’aurais fait. Aller à l’université. Partir loin de là où il a vécu.
    - Tu reviendras nous voir ?
    - Oui… et fleurir sa tombe.

    Elle se leva et essaya ses larmes. Eleonor lui sourit tendrement comme une mère qui sourit à son enfant puisque c’était ça. Gabrielle essaye vainement de faire de même mais ne réussit pas. Elle monta dans sa chambre et commença ses bagages pour Roosevelt University.


    Dernière édition par Gabrielle A. Woody le Sam 7 Nov - 15:09, édité 3 fois
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    Ahh, zut, j'avais pas pensé à ça :S
    Désolée, j'aurais du attendre que tu résérve =)
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    C'est pas grave xD
    Ca me fait plaisir comme même. Puis au pire, je coupe l'histoire en deux, une partie dans la fiche, l'autre dans un autre poste. (fin s'il me reste de la place dans le tout premier poste... )
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    Finiiiiiie
    (la flemme d'éditer le poste précédent ^^ )
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    try, try, to drink me ♥


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    (j'ai une idée pour remonter ton sujet. XD)

    Bravo pour ton histoire ! :P

    J'adore le "et fleurir sa tombe". C'est beau. (a)
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    (je veux pas qu'on le remonte mais qu'on me valide xD )


    Merciiii
    C'est vrai que c'est joli =p
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    Bienvenue & je t'annonce que tu es validée !
    Maintenant va réserver ta célébrité, ton avatar donc, et signer le règlement si ça n'a pas été fait.
    Tu as aussi tes sujets de Relationship et Topic à créer =]
    Si tu pouvais voter pour nous dans les Top Sites ça serait bien, histoire de faire connaître le forum ^^
    Je m'en vais de suite t'ajouter au groupe des étudiants =D
    & have fun on RU ♥️
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    Marmaaa ! Je t'aime tu sais.
    Je m'occupe de tout ça vite fait bien fait.
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