Lorènn • You can ! [Finished <3]

© {Sorry, je sais plus}

Lorènn Caysland Jared Padalecki Masculin 20 ans 17 Novembre 1989 Brooklyn 3éme année d'étude Célibataire Etudiant

■ Famille :
La famille a toujours été quelque chose de primordial pour Lorènn. Malheureusement, il n'a pas e beaucoup de chance avec les membres les plus importants de sa famille, ses frères et ses parents (génitifs). En effet, il ne l'on jamais vraiment considérés comme leur fils a proprement parlé. La mère de Lorènn, une femme charmante mais très susceptible et rancunière l'a mis au monde alors qu'elle ne voulait plus d'enfants, mais refusait d'avorter pour autant ! Le père de Lorènn, lui, était un homme d'une monstruosité atroce, qui n'avait aucune conscience morale et était très orgueilleux... Il n'a pratiquement jamais vu son fils sauf il y a 2 ans, et c'est Lorènn qui l'a recherché. Il l'a au début détesté, il feignait l'innocence de l'avoir abandonner à sa mère... Heureusement, celle-ci était déjà marié a quelqu'un d'autre et son père (car c'est qu'il est vraiment pour Lorènn) l'a accepté comme son propre fils et l'a élevé comme tel.
Tout aurait pu être si simple, Lorènn avait une mère, un père adorable te deux frères pour s'amuser ! Il aurait pu être heureux, malheureusement, le destin en a voulu autrement. Le petit garçon qu'il était à cette époque s'est mal fait accepter par ses frères adoptifs et plus il grandissait, plus il lui semblait que sa mère le rejetait... Son père lui était le seul qui le gardait dans son amour et l'a toujours fait ! Quand sa mère s'est séparée de lui, le jeune homme avait 16 ans et après maintes demandes, le juge à accepter qu'il reste avec son père adoptif. C'est lui qui l'a élevé, aimé, lui à tout appris et même lui qui en voyants les qualités de son fils l'a incité à venir à Roosevelt réaliser son rêve... Depuis sont entrée, il reçoit des lettres et voit régulièrement son père. Ses frères ne lui parlent pas et sa mère ; qui est partie vivre à l'autre bout de la terre, lui envoie de temps en temps de l'argent et des petits mots.
■ Histoire : Post suivant
■ En amour ? :
Il faut savoir une chose avant de se lancer dans une aventure avec Lorènn, ce ne sera pas de tout repos... En effet, le jeune homme se fait souvent envoyer des lettres anonymes de prétendantes aguerries ou même des discours en direct à en mourir d'ennuis. Le jeune homme essaye au mieux d'écarter le plus possible ces petites ennuyeuse, pour ne pas être vulgaire, de sa vie. Et au pire de retenir de leur sortir leur quatre vérités, ce qui pourrai lui être fatale à l'avenir. Lorènn a toujours rêvé au grand amour, une belle jeune fille, pas qui lui ressemblerai, non, il sait que ça ne collerai pas entre eux, mais une fille sympathique qui l'aimerais pour lui même... Lui aussi essaye de faire la part des choses, attendre le coup de foudre qui n'arrivera peut être jamais, être sceptique à chaque fois qu'une jeune fille fait battre son cœur, se demander pourquoi elle lui plait, pourquoi elle alors qu'il la connait parfois à peine et si jamais il ose tout lui avouer sur ses sentiments, sera-t-elle comme les autres filles avant elle ? Ou l'acceptera-t-il simplement comme il est ?
Le jour où le garçon arrêtera de se poser toutes ses questions au lieu de tenter sa chance et de foncer, il sera prêt à tout donner pour son amour, mais pour le moment, c'est en fase de construction...
■ Et les amitiés ? :
Ahh, l'amitié... Si en amour Lorènn se fait courser à en être malade, en amitié, ce ne sont pas les prétendants qui se bouscule. Lorènn est un garçon simple, beaucoup trop simple et son amour pour la solitude fait s'éloigner de lui pas mal de monde. Il faut dire aussi que le jeune homme est compliqué, parfois doux, adorable est aimant, il peut être aussi le pire monstre jamais vu ! Quand il est énervé, il ne faut pas le chercher et même le peux d'amis qu'il a n'osent pas l'approcher dans ces cas extrêmes trop répétitifs à leur goût.
En plus de tout cela, Lorènn n'est pas un garçon dont la confiance est facile à gagner, il se méfit de tout et se parque dans son petit monde pour vivre sa vie, seul et sans complexe, se qui n'es parfois pas la meilleure solution pour se faire des amis... Entre autre, ne pas avoir beaucoup d'amis ne semble pas gêner Lorènn outre mesure. Et quand il est seul, il n'y a plus que les fantômes pour oser l'approcher... C'est un peu ses seuls amis et ce sont les uniques individus que Lorènn apprécie au point de bien se sentir en leur présence...

■ Matière Principale : Droit
■ Matières Optionnelle : Gestion
■ Niveau d'intelligence : 81/100
■ Profession ou Petit Job : Vendeur dans un petit magasin de disque à New York le week-end
■ Explication de vos choix/ de votre parcours:
Lorènn est un garçon qui n'est pas très stable. Il peut être bien quelque part pendant 1 an ou 2 mais plus c'est trop, il lui faut bouger, ce qui n'est forcément pour être pratique. Le jeune homme a eu une enfance difficile qui ne l'a pas vraiment aidée à se construire ou a réaliser ses rêves, entre autre, devenir avocat. Ou du moins travailler dans le droit. Lorènn est un garçon intelligent qui sait pourtant ce qu'il veut, et si sa vie n'avait pas été aussi horrible, il aurait peut être été mature plus tôt et aurait commencé le Droit plus tôt. Maintenant qu'il a réussi à avoir une place dans la grande université qu'est Roosevelt, il ne relâchera rien, pour rien au monde ! Pourtant, le garçon ne saurait pas expliqué pourquoi devenir ce qu'il veut être est si précieux a ces yeux... Son père à peut être joué un rôle dans l'histoire, même toute sa famille... Avec leur manies ne pas respecter les lois et de finir par en mourir. Cette faute qui à aussi mis en danger des tas de gens et lui-même a incité Lorènn à vouloir faire le bien, faire respecter les codes et les principes de la loi, de la Justice, parce que des vies en dépendent ! Lorènn le sais et il a trop souvent été mis en danger à cause de non respect pour savoir ce qu'il dit et ce qu'il fait... Voir des gens pour mourir bêtement n'est pas honorable, il faut faire quelque chose pour éviter ça ! Il a plusieurs moyens. Pour le jeune homme, c'est devenir membre de la Justice, avocat, juge, peut importe, tant que des vies peuvent être sauvés et des fautifs condamnés !

■ (+) Qualité : Calme ; Intelligent ; Tolérant ; Tenace ; Aimant ;
■ (-) Défauts : Susceptible ; Impulsif ; Excentrique ; Accumulateur* ; Jaloux ;
*(Il pense quelque chose mais ne le dit pas, quand il en a asser, il se lâche mais tout le monde se sauve xD)
■ Rêve(s) ? : Rêve d'être heureux à jamais (Ah, le rêve classique !) de partir vivre en Ecosse (va savoir pourquoi...) et surtout de réaliser ses rêves justement ! Et comme beaucoup, il rêve de l'amour, d'un monde meilleur et d'une vie paisible, sans complexes...
■ Peur(s) ? : Vous allez rire, mais Lorènn a peur des crevettes (mortes je précise, celles qui gigotent bien, il les aime, elles ne le dérangenet pas) Il a aussi peur de l'avenir, des choses volantes (oui, oui, même les navions...), de l'inconcience et de perdre ceux qu'il aime...
■ Description Physique :
Le physique a toujours été quelque chose de très à part pour Lorènn. Quelque chose ne non indispensable et qui ne nécessite pas une attention très importante... Ce qui n'empêche pourtant pas au jeune homme d'être charmeur et on peut largement le dire attirant et tombeur ! Il s'en rend compte et ça le gêne mais malheureusement, il a tout essayé pour mettre de côté son apparence, jusqu'à même faire exprès d'oublier de se coiffer ou autre, rien à faire, il reste sublime et tout ce qu'il essaye pour devenir affreux se retrouve à faire l'inverse ce qu'il aurait souhaité !
En même comment faire pour résister à son charme...?
Lorènn a des cheveux brun, rien de plus banale, normaux. Mais ils sont impossible à coiffés, toujours en bataille, évidemment ils sont mi-longs et très épais... Rebels quoi.
Il faut dire aussi que Lorènn ne passe pas beaucoup de temps à se battre pour avoir une coiffure potable, il passe la main dedans et hop ! le tour est joué. Le pire, c'est que ça plait ! Et que ça exaspère le garçon, mais que faire, et en plus de ça, quand il est confus il ne s'empêcher de grimacer/sourire de son petit sourir en coin irrésistible. Là, c'est fichu et Lorènn le sait, il laisse tomber et cherche un moyen repoussant de s'habiller. Bon, c'est vrai, là-dessus, on peut dire qu'il est champion ! Jean troué et chemise à moitié de travers et ses chaussures non attaché. Sans oublier, le magnifique gilet vert-gris tout taché !
C'est surtout ce dernier qui fait la différence !
En outre, Lorènn a des yeux de braise noirs et profonds comme la nuit qui pétillent à chacun de ses sourires blancs Colgate.
Petits et toujours en actions, ils observent tout et quand la panique arrive sur le visage du jeune homme, c'est dans ses yeux qu'elle apparaît en premier, trop voyante. Des joues parfaites, un front normal et banal, un nez aquilin et droit...
Tout pour plaire. Puis n'oublions pas le corps de rêves ! Des épaules larges et fortes et un buste de statue de pierres, agrémenté de tablettes de chocolat très bien placées ! Et après il se demande pourquoi les filles lui courent après ! Faudrait peut être se calmer sur le sport mon gars hein, sa serai déjà un grand pas dans la bataille pour la survie de Lorènn aux filles !

■ Tu aimes, toi, Barack Obama ? : Ses théories sont tout a fait à mon goût !
■ Central Park, c'est quoi pour toi ?: Un parc surpeuplé où on peut se détendre...
■ As-tu peur des fantômes ? : Ben non, pas du tout. Pourquoi ?
■ Une soirée entre ami(e)s, c'est sacrée pour toi ? : Non, plutôt une soirée seul... tranquille ! Il n'empêche que j'aime m'amuser !
■ Est-ce que Mickeal Jackson te manque ? : Nan ! Un homme comme un autre, pas exceptionnel...
■ New-York ou Paris ?. : Bahh, New-York ! Logique, c'est là que je vis depuis l'enfance !

■ Ton Prénom : Marie ou Lilie pour ceux qui préfére ^^'
■ Ton âge : Ahah ! 14 ans, bientôt 15 8B
■ Où as-tu connu le forum ? : Ahh ! TF est un forum...
■ Fréquance de connextion : 6/7 jours logiquement.
■ Le mot de passe:


Spoiler:

■ Autre : Ce forum est une puuure merveille depuis le début ! Je vous n'aime
Autre infos, Lorènn n'est plus du tout celui qu'il était... Enfin presque :)

By Lulu'. Don't Touch !.

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Ma naissance... Comment l'oublier, le moment le pire de mon existence insignifiante ! Là, je suis dans les bras de ma génitrice, pour ne pas dire mère, je ne la considère pas comme telle. Elle n'arrête pas de me dire des choses incompréhensibles et méchantes que je ne supporte pas et refuse que je mange contre elle. Très vite elle me refile à une sage femme pas beaucoup plus douce qu'elle. Non mais, je vous jure, quelle vie d'être bébé !
Bien sûr, quand j'ai pointé le bout de mon nez quelques heures plus tôt, j’étais tout heureux, enfin de l'air ! On m'a pris et très vite, l'enfer à commencer. Et va y que je te lave violemment et que je t'habille avec des bout de trucs bizarres où tu ne peux pas faire un geste. Alors, toi évidemment tu pleure mais on s'en fiche que tu ai faim, on continue de te trimbaler partout jusqu'au bras de ta maman chérie qui te repousse... Pourquoi ? Me suis-je dit la première fois. Pourquoi me repousse-t-elle ? Elle ne m'aime donc pas ? Hé bien non, elle ne m'aime pas, où du moins elle ne m'aimait déjà pas avant que je sorte mais cela semble la soulager que je l'encombre plus à l'intérieur.
Donc, je disais elle me donne à la dame en blanc qui me refile à une autre, puis une autre jusqu'a ce que je m'endorme dans les bras de la dernière, ma dernière vision du monde avant le véritable enfer...
Moi, j'aurais voulu rester dans cette grande pièce blanche, je m'y sentais bien, dans les bras de la dame qui me chouchoutait plus que els autres, c'était elle ma mère, celle jolie femme qui me faisait des sourires et des chatouilles et qui me nourrissait, pas la grande dame couchée dans le lit à lire le journal et à toujours parler toute seule (même si mon instinct me disais que c'était à moi qu'elle parlait). Mais le jour de ma sortie arriva vite et sans prévenir. Le premier jour dans les Limbes.
Mais aussi un jour de rencontres joyeuses. Mon père. Un grand bonhomme qui m’a tout d'abord fait peur mais qui finalement s'est avéré très aimant, je lui dois d'ailleurs cette qualité que j'ai hérité de lui. Mon cher père, lui qui m'a sourie à ma sortie, qui a pris ma mère toujours grimaçante par les épaules et qui m'a tout de suite pris dans ses bras protecteur qui jamais je n'aurais quitté si cela avait été possible... Après quelques minutes, je l’aimais déjà et je l'aimerais à jamais, lui seul. Les autres semblait gentils, deux petits garçonnets ébouriffés aux joues roses, ils me souriaient, ils étaient jeunes. Plus tard, ils ne me souriraient plus, mais comment aurai-je pu le deviner, moi le petit avorton de quelques jours...?

• A life of poverties •

Ensuite, tout est devenu de plus en plus sombre. Je n'aurais jamais deviné qu'une vie de misères m’attendait. Une vie de rien, de mort, de haine, de peurs... Ma vie. Ma mère m'ignorait royalement quand je lui demandais quelques chose et quand il fallait m'emmener chez le médecin, elle parlait de nouveau toute seule, me prenait par la main et me mettait dans la voiture en piaffant que j'étais une calamité et un problème d'autant plus important que j'étais idiot à n'en pas croire. Dans ces moments, je ne comprenais plus rien. Mon père me répétait souvent en souriant : "Mon fils, tu seras un Grand!" Je n'étais pas bâte, je savais ce qu'il voulait dire... Ma mère elle, semblait l'ignorer. Du côté de ma mère je laissais tomber, elle ne m'aimerait jamais, jamais ! Mon père me vénérait et je l'adorais, lui, le seul de la famille qui me vouait un amour sans nom. Parce qu'il reste mes deux grands frères. Eux, me déteste, tout simplement. Pourquoi ? Je l'ai ignoré pendant longtemps jusqu’à ce fameux jours, ce soir d'hiver impossible, j'en avais assez que me mère m'ignore, j’étais insupportable, d'une énergie d'ours et ma mère devint vite folle à en pleurer. Là, je regrettais ma monstruosité, et très vite, c'est moi qui pleura à chaudes larmes, parce que du haut de mes 5 années d'horreur, ma génitrice venait de me dire une chose que j’avais parfaitement comprise : Mon père, celui qui m'aimait plus que tout, qui m'avait tout appris et qui était le seul à faire attention à moi n'était pas mon père. Je hurlais, fonçais dans ma chambre en pleurs et m'y barricadait pendant des heures et des heures, n'arrivant pas à arrêté le flux qui sortait en torrent de mes petits yeux. La porte grinça au bout d'un moment et une silhouette se glissa dans ma chambre. Elle s'assit sur le lit et me tendit des bras protecteurs où je j’étais en pleurant de plus belle. Ma peine ne partit pas si facilement. Après des heures dans els bras de mon père, je m'endormis contre lui, le nez rouge et les yeux bouffis. Il me coucha délicatement et je dormais d'un sommeil agité jusqu’au matin. Ce fut les cris de mes parents qui me réveillèrent. Mon père était furieux contre ma mère, il lui reprochait de l'avoir trahit, il avait accepté sans broncher d'élever son fils contre le sien et maintenant, elle détruisait tout, sans raison. Ma mère ne répliqua pas et j’entendis la porte claquée après un blanc insupportable. Mon père entra dans la chambre et me sourie, je fis de même et j'allais déjeuner avec lui et mes frères qui semblaient aussi mal que ma mère. Moi, je n'arrivais pas à dire un mot de toute la journée.
Le soir, ma mère rentra du travail et monta se coucher sans même un regard pour nous... Là, je compris que je n’avais plus aucune chance qu'elle m'aime un jour. Mais ce que je n'arrivais pas à comprendre c'était pourquoi n'avait-elle pas avorté de moi ? Elle ne pouvait pas me détester, pas après avoir fait ça ! Et pour cette raison, je l'admirais et j'avais de la peine pour ce qu'elle endurait.

• Because everybody in right for the happiness one day... •

Des années passèrent et je grandissais, en silence. Malgré la révélation de ma mère qui avait changé ma vie, j'aimais toujours mon père et lui m'aimais toujours, mes frères ne détestaient toujours, ma mère aussi, je les perdais, je les avais perdu... Maintenant, j'avais 16 ans, j'étais devenu un beau jeune homme après qui les filles aimaient courir, moi je n'aimais pas ça. Je pensais depuis quelques temps de plus en plus à mon géniteur. Je voulais le retrouver, le voir, lui parler, le questionner. Mais pour cela, il fallait que je fasse des recherches interdites dans école et je risquais gros pour mon avenir si je ratais mon coup ! Mais il fallait que j'essaye, que j'ai des réponses ! Un matin donc, j'allais à la salle multimédia, je recherchais les infos sur mon père et je repartais, manquant de justesse le proviseur en passage dans le couloir. Je rentrais le soir, ne mangeais rien, dis bonsoir à ma famille et filais me coucher, enfin rassembler mes trouvailles. Le lendemain, les vacances commençaient, et mon départ pour Los Angeles aussi. J'avais peur de quitter New-York seul, mais il le fallait !
Je me levais très tôt et fonçais vers la gare le plus vite possible pour ne pas rater mon train. J'avais laissé un mot à mon véritable père, celui que j'aimais et qui m'aimais, je ne voulais pas qu'il s'inquiète...
J'arrivais vite à destination et cherchais la maison de mon père, l'adresse à la main, demandant parfois aux gens qui passaient qu’ils connaissaient. Un oui. Il m'indiqua le chemin et je trouvais facilement, à ma grande joie et surprise. Sauf que ce n'était pas une maison l'endroit indiqué, mais un bar. Un bar d'ivrognes ! Soudain, alors que j'arrivais devant le bar, quatre gaillards à moitié saouls sortirent du bar en titubant, je courais me cacher derrière une poubelle pour les observer.
Même sans connaître le visage de mon père, je savais qu'il était parmi eux, je le sentais. C'était un fou, un homme sans conscience, qui m'apparaissait monstrueux ! Mais comment ma mère avait pu l'aimer ? Justement, là je compris, elle ne l'avait pas aimé, lui non plus, je n'étais que le fruit d'un viol, d'un accident, de deux êtres méprisables ! Je voulais mourir !
Je m’enfuis, les larmes aux yeux, le cœur en charpie, plus jamais je ne pourrai faire confiance à quelqu'un ! Ne jamais plus aimer sans me poser des questions ! Ils avaient gâché ma vie, je m'étais gâché la vie… Je repartais bredouille vers la gare, je ne voulais pas dormir à l'hôtel, pas ce soir. J'arrivais très tard et fus très surpris de voir mon père seul à la table ; il m'attendait, il m'aimait. Je courais dans ses bras et pleurais de plus belle, lui, me consola comme étant bébé.
Là, il me raconta tout ; ma mère avait pris mon départ pour une fugue, s'en avait été trop pour elle, elle était partie et avait entamée une procédure de divorce, avec l'accord de mon père. Nous avion rendez-vous chez le juge dans une semaine pour savoir qui aurait ma garde. Mon cœur se bloqua et je me mis à respirer durement, si jamais le juge décidait de m'envoyer avec ma mère, mon existence déjà instable et horrible allait devenir l'enfer à proprement parler. Je priais tous les jours pour être avec mon père.

• My life, simply •

Mon vœu se réalisa, le juge m'envoya vivre avec mon père. Il avait longtemps hésité étant donné que ce n'était que mon père adoptif mais avec mes arguments, il décida de mon bonheur et ma vie au sein d'une véritable famille commença vraiment. J'avais mon père, la seule personne au monde que jamais je n'aurais quitté, mon projet d'avenir solide, ma vie rêvée ! Ma mère était partie vivre en Australie avec son ami et mes frères allaient se marier. Tous refusaient de me parler et plus aucun mot ne me fus adresser après la sortie du bureau du juge. Très franchement, cela ne me gênait aucunement ! Temps que j'avais mon papa...Ma vie après pris un tournant inattendu ! La vie était belle, simple, joyeuse et mon père venait de me faire le plus beau cadeau de ma vie, me prendre chez lui, m'accepter dans sa vie.
Très vite, un autre cadeau inestimable arriva ; ma feuille d'acceptation dans la grande Université de Roosevelt, une des plus réputée de New-York, mon rêve car c'était la meilleure question études et mon projet nécessitait la meilleure éducation possible car on ne devient pas un membre de la Justice en claquant des doigts ! J'entrais à Roosevelt avec les félicitations de mon cher père et sa bénédiction pour que je réussisse. J’y croyais, il y croyait, rien ne pourrai m'empêcher de réussir.
Mais malgré tout le bonheur du monde, je garderais toujours dans mon cœur une plaie béante de mon horreur...

Oui ! Merci Blue' ^^'
Il m'en faudra ! Par contre, la partie toute en rouge (ou rose) c'est nous qui répondons ou le personnage ?
Désolée, mais je suis fatiguée, j'ai pas trop les idées claires en ce moment -.-'

Bon voilà, je crois que j'ai finis la fiche ! Enfiiin =)
J'ai mis le groupe que j'aimerais en dessous de la situation amoureuse.

Belle présentation Lo' !
Tu es validée !
Va réservé ton avatar & signer le réglement si ce n'est pas encore fait.
Pense à faire ton sujet de relationship & de Topics.
Oublie pas de voter pour nous <3
Et, tu peux faire des prédéfinis qui ont un lien ou pas avec l'histoire de ton personnage.
Mais surtout, amuse-toi bien ! (a)

Merci Acidy <3
Je vais faire ça de suite !