• Temporary Love

• Aujourd'hui soleil partout avec quelque ondées sur l'Est. Une température néanmoins basse avec 15° à
New York Nord et 21° à Phoenix ainsi que... •
Lorènn donna un grand coup dans son rêveil-radio qui avait pour abitude depuis quelque jours de se mettre en route à 7h00 pile ! Le jeune homme avait bien essayer de le reprogrammer pour plus tard mais il ne comprenait rien à tous ces boutons rouges, noirs, verts... Il avait donc laissé tomber et puis cela le défoulais de s'acharner sur quelque chose le matin, après des rêves étranges et dérangants. En effet Lorènn se voyait chef des enfers, les yeux rouges, de la fumée sortant par toutes les fentes de son corps. Jusque là c'était normal pour un diable et puis... un scéne étrange... Lui, le diable, faisait apparaitre dans sa main une baguette et faisait une leçon d'art-plastique à des élèves humains en enfer. Atroce ! Lorènn se rêveillait donc en sursaut et ne redormais que quelque heures plus tard.

Aujourd'hui, bien qu'il n'ai pas cours, Lorènn avait mis, enfin essayer de mettre, son rêveil sur 7h00 afin de ne pas manquer le match de Football Amercain des Cheerleders dans le Gymnas à 9h00 ce matin. Azuna comptait sur sa précense et presque tout les lycéens s'interrésant au sport allaient venir. Les Playboys incluent. En effet les matchs étaient les moment idéals pour les paris ! Lorènn aurait pu lui aussi en faire ce matin mais il ne se sentait pas à rire en ce moment...

Il se leva et se dirigea vers la douche, à moitié endormi. Il laissa couler l'eau bouillante sur son torse de pierre quelque minutes à peine, et sortit se sécher. Pour rester dans l'ambiance sport toute la journée, le jeune homme décida de porter un survêtment. Et puis un petit footing de lui ferait pas de mal ! Il enfila donc un swit blanc et noir et le joggins assortis, le tout avec des baskets grise usées et un bandanat blanc pour retenir ses cheveux rebels en arrière. Après cela, Lorènn attrapa son Mp3 posé sur le lit en désordre (comme le reste de sa chambre) puis un le fourra dans son sac. Il y mis aussi une serviettes, des vêtements (normaux) de rechange, un livre de droit ; un peu de révisions ne lui ferait pas de mal non plus, et une barre de céréales. Il sortit, tranquille de sa chambre, essayant de ne pas faire trop de bruit, étant donné que ses amis de palier dormaient encore. Il était tôt : 7h30. Lorènn ne courut donc pas, comme il faisait d'habitude, quand il était en retard.

Dehors, il faisait déjà chaud. Un vent léger fit voler les cheveux de Lorènn et le jeune homme huma l'air et respira,la bouche ouverte, les yeux fermés. Des fleurs de printemps exalait une odeur intense et fruitiére, Lorènn adorait ça !
Il sortit le MP3 de son sac, programma un thème rock et mit le lecteur dans une de ses poches, ne laissant passer que les écouteurs, qu'il mit dans ses oreilles, le son au maximum. Il se mit à courir, d'un pas régulier et soutenu... La musique lui emplissait la tête et bizarement, lui faisait un bien fou, le décontractai. Il ne pensa plus à rien, vida son esprit, éloignant même Einlenn de ses pensées les plus secretes, il n'y avait plus que la musique, rien que le son écrasant et hurlant dans les écouteurs.
Lorènn ne savait même plus depuis combien de temps il courait, complétement ailleurs, dans ses rêves vides de souvenirs.
Soudain, un cri aigu qui faillit faire avoir au jeuen homme une crise cardiaque s'éléva dans les airs puis se foudit dans le néan du ciel bleu et cotonneux. Lorènn s'arrêta, alerte, et éteigni sa musique. D'ailleurs, il se demandait comment il avait pu entendre le cri avec le son si élevé. Il avait du être très fort donc. Cela faisait à peine 30 secondes que le jeune homme avait reprit son entrainement, quand de nouveau un cri, moin fort cette fois, se fit entendre, plus proche. Lorènn enleva les écouteurs de ses oreilles et marcha, sourcils froncés vers la source du bruit. Il arriva dérriére un arbre, un gros chêne centenaire, et là il y avait une fille. De part sa tenue simple, son regard si doux et son visage crispé par la peur ou autre chose indécelable, Lorènn devina qu'elle était ZETA. Les gens, normaux, simple et pourtant si charmants et beaux, de véritbles anges, à l'inverse des OMEGA, les rebels. Elle était recroquvillée sur elle même et ne semblait pas avoir remarqué la présence de Lorènn. Le jeune homme, inquiet se pencha vers elle, tendu car ne voyant toujours pas son visage et demanda :

- Ca va ? Que s'est-il passé, je t'ai entendu crier, tu... tu t'appelle comment ?

Lorènn ne se rendit qu'après de la stupidité de ses motsun peu gamins, comme on parle à un enfant perdu. Il se renfrogna, près à partir, mais une force intérieure lui dicta de rester auprès de cette jeune fille, dont Lorènn ignorait tout pour le moment... Il resta donc, attendant sa réponse.