Oh... The city is so beautiful at eleven o'clock ! [Jude]

● Messages : 64 ● Date d'inscription : 01/07/2009

(c) moonshadow, image by Larafairie

Sur les coups de 10h du matin, a été aperçue au sortir du campus, une tornade blonde.
Talons hauts, collants filés, mini-jupe verte fluo moulante et long tee-shirt XXL jaune criard rattaché au corps par une ceinture large en cuir noir.
Qui est-elle ? Où va-t-elle vêtue ainsi ?

- Je vais manger une pomme ! l'entend-on crier avant qu'elle ne s'engouffre dans la station de métro, disparaissant de la surface de la Terre pour les profondeurs bondées et puantes des souterrains de la ville.

Dans les couloirs, les escaliers et les plateformes, toujours la même chanson, bien que le refrain varie d'une version à l'autre. Les gens s'exclament, sursautent face à cette folle si... folle. La réaction de la concernée ne se fait pas attendre, elle rie aux éclats, indifférente aux moqueries qui ne manquèrent pas de fuser autour d'elle.
Et ce scénario se répète. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Encore. Ai-je besoin de continuer ou vous, mes chers lecteurs, avez compris ?

Le papillon continue son chemin, et bientôt, battit des ailes et revit le soleil.
La 32ème rue, étrange pour un papillon...
Une rue bordée de boutiques.
Une rue bondée de potiches.
Une rue de New-York quoi...
Jean s'avança alors.
Bousculant tout ce qui pouvait l'être, écrasant tout ce qui pouvait être écrasé, elle ne se gênait pas et progressait à une rapidité étonnante dans pareille marée humaine.

Puis bim bam boum illumination !
Tout droit, en un instant son plan méchiavéliquement diabolique et malfaisant s'était construit dans sa tête. La fille en face. Avec son plat de spaghettis bolognaise. Muwuahahaha.
Jean accèléra et vint se planter devant l'inconnue. Peut-être la connaissait-elle, peut-être ne l'avait-elle jamais vu.
-Excuse-moi... dit-elle d'une petite voix, bien que son expression laissait voir qu'elle n'était pas le moins du monde désolée.
Elle prit l'assiette plastifiée des mains de la jeune fille, la tint bien avec sa main gauche, tandis que sa main droite se plaçait derrière le crane de la pauvre fille. Et Jean poussa. L'inconnue se retrouva la tête dans les spaghettis, et notre Kappa riait à gorge déployée. Son plan démoniaque avait réussi. Et tout cela en moins d'une seconde.

Un plat de spagetthi bolognaise,une glace et un coca à emporter s'il vous plait.

Pendant que la serveuse s'affairait,Jude s'assit sur le banc. Elle regardait la 32ème avenue. C'était l'avenue la plus "hype" de tout New York. Se promenait des gens riches,des genx extrement riches et....c'est tout. Il n'y avait pas de place pour les pauvres dans cette avenue. Filles superficiels,potiches étaient au rendez vous. Vêtement à 1000 dollars,paeillettes,strasses voici ce que l'on trouvait sur cette avenue.

Jude,elle,était là pour...les restaurants. Cette rue avait la grande chance d'avoir les meilleures restaurants de New york,et jude en profitait. A cette heure ci,les trottoirs étaient bondé. Ce n'était même plus des trottoirs,d'ailleurs,jusqu'une grande marée humaine.

Malheuresement,quelqu'un vient casser se moment de calme. Une tornade blanche. Ou plutot,une certaine kappa,alias Jean. Quand Jude était arrivé, jean la suivait peu de temps après,mais écrasante déjà d'égocentrisme. Déjà que Jude n'aimait pas les Kappas,elle execrait cette fille. Sans raison. Mais elle était simplement si.... sournoise. Elle était si au dessus de tout. MÔdame ne daigne même pas se souvenir de vos prénom,et si vous n'êtes pas un minimun interessante,elle vous envoie bouler.

C'était cette fille qui de ses vêtements criards et dénuées de gout qui était entrain de pousser,de faire tomber, d'écraser tout le monde pour que sa personne et son immence égo puisse passer. Attendre,elle ne connait pas. Jude renifla avec mépris puis se détourna d'elle.

Elle n'a pas donc vu la kappa se jeter sur elle,lui prendre son assiette et,en l'espace d'une seconde,lui mettre dans la figure. Non, décidement,ca,elle ne l'avait pas prévue. Ebahie,elle regarda Jean sourire de toute ses dents puis rire à george déployé.

Rah,qu'est ce que je lui es fait à cette blondasse à la tête creuse

Encore sous le choc,il fallut une minute à Jude pour se secouer la tête,enlever le plus de bolognaise que possible,et préparez une vengance.
Jean était déjà connu pour ses coups du hasard,mais alors là...

La jeune Zeta s'élanca à pas de loup vers Jean,son coca et sa glace en main. Tant pis de les gacher,mais elle s'imaginait déjà la tête affolée de la Kappa.

Arrivée à quelques mêtres d'elle, Jude hurla:

-Hé,toi,j'ai un truc pour toi.

Insctintivement,Jean se retourna. La jeune fille se retrouva alors dégoulinante de coca et le cornet de glace collée sur la tête. Aucun son ne sortait de sa bouche. Tétanisée elle était.

-Tient,voilà pour toi,j'espère que tu es raffraichie,maintenant.

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Fière de son petit coup, Bébé s'en était allée, et donc bien étonnée fut-elle lorsque la petite Zéta la héla. Zéta. Tiens, ça ressemble au bruit de la mouche ça. Mouche. Hihihihi. Quel joli surnom.

Jean se retourna, heureuse de sa petite plaisanterie intérieure.
Une douche froide, voilà ce qu'elle ressentit lorsque la mouche lui renversa ses aliments sur le crane.
Tétanisée, elle l'était. Sa bouche formait même un petit "o" de surprise.

-Tient,voilà pour toi,j'espère que tu es rafraichie,maintenant., lui rétorqua la mouche.

Les drosophiles, c'est bruyant, stressant, exaspérant... Tout ce qu'on veut. Sauf qu'il suffit d'une bonne tapette pour s'en débarrasser. Rose fluo de préférence, oui parce que le rose fluo, c'est tellement plus beau que le bleu. Le bleu, c'est le ciel, le bleu c'est l'herbe. Le bleu en fait, quand on y pense, c'est vert... JE VEUX DU SOLEIL, oui oui, le bleu c'est vert.

- Le bleu c'est vert.

Jean ricana.
Puis s'essuya le visage, de la crème pétillante lui encombrait la vue.
Sa main était désormais d'un blanc boueux, avec quelques bulles. Dégoutant.
La gifle partit d'elle-même. Elle venait à peine de penser à une bonne baffe que sa main s'était déjà écrasée sur la joue de la mouche.

-Vert comme tes yeux, donc bleu, blanc la crème, rouge la bolognaise. Tiens ! Le drapeau français !

Jude ricanait. Elle n'aimait pas particulièrement la vengeance,sauf quand elle est méritée. Et là,c'était l'apothéose. Devant elle se tenait une kappa tétanisée,ne comprenant même pas ce qui se passait. Puis,brutalement,son attitude changea. Jean,encore sous le choc,avait décidé de rétorquer.

Elle murmura quelque chose d'inaudible,comme quoi le bleu c'est vert et gifla Jude. De toutes ses forces,avec un petit sourire sardonique. La joue de la jeune fille brulait,et une marque rouge apparaissait.

La Kappa,sourit,contente,et lui assena:

-Vert comme tes yeux, donc bleu, blanc la crème, rouge la bolognaise. Tiens ! Le drapeau français !

Jude bouillonnait. Elle n'allait pas s'en tirer comme cela cette blondasse. Il fallait se venger, coûte que coûte. Elle feignit se retirer,sans lui avoir lancé au préalable un regard haineux et regarda autour d'elle. Du monde,des restaurants,et quelqu'un qui s'égosillait pour vendre des hot-dogs...

Elle tenait la solution! Comme par miracle, Jean se dirigea vers le petit marchand ambulant,non pas pour lui acheté un hot-dog,mais pour surement le contourner et aller dans Central Parc.
Il ne fallait pas qu'elle se fasse prendre. Elle s'approcha à pas de loups,et quand la kappa,encore fière de son tour,était à 10 mètres du marchand, Jude poussa. De toutes ses forces.

Sous le coup de la surprise, la Kappa vacilla,et tomba sur le marchand ambulant. La tête dans le Ketchup,la mayonnaise et la viande,c'était risible.
Jude s'approcha en sautillant,et d'un air on ne peut plus angélique lui dit:

Rouge comme le ketchup,jaune comme la mayonnaise,et noir comme tes ongles. La France,c'est bien mais la Belgique,c'est mieux!

Puis Jude s'approcha du vendeur,lui donna quelques billets pour réparer son stand,et s'assis sur un banc,regardant la kappa fulminée,rager,s'égosiller.

Ah,qu'elle belle journée. Je n'aurai pas pu rêver mieux...

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La petite Kappa rayonnait. Elle s'était beaucoup amusé !
Certes, sa coiffure était be et bien foutue, mais une bonne douche suffirait à les rendre aussi beau qu'à l'ordinaire.
Jean fit donc demi-tour, contourna le stand d'un marchand installé sur le trottoir, et reprit sa balade. Les grattes-ciel ne lui semblaient pas aussi imposants qu'aux autres, au contraire, elle était certaine qu'en sautant et en levant les bras avec les doigts bien tendus, on pouvait atteindre leur toit. Si si si c'est possible, puisque Ruby le pense.
BOUM
SPLASH

Pourquoi ne vois-je plus rien ?

Elle n'arrivait pas non plus à respirer, quelque chose devait clocher. Elle essaya d'enlever à l'aide de ses mains ce qui la gênait tant, mais fut surprise de rencontrer du... gluant. Berk ! Elle ouvrit la bouche pour marquer son mécontentement, mais la matière visqueuse l'en empêcha, s'infiltrant dans sa bouche et l'étouffa.
Jean se mit alors à tousser cracher, bouger dans tous les sens, et donc, finit par retirer sa tête du bac à Ketchup.
Mais la sauce s'était aussi infiltrée par ses narines, et Ruby ne pouvait faire autrement que renifler, crier, crachoter, éternuer. Cette sensation était très désagréable, vraiment...
Ce qui la fit sortir de sa torpeur ravageuse, fut la voix de sa petite copine la mouche.

"Rouge comme le ketchup,jaune comme la mayonnaise,et noir comme tes ongles. La France,c'est bien mais la Belgique,c'est mieux !"

Une dernière toux, et hop. Jean était remise.
Si on peut considérer qu'une jeune fille fringuée comme une tapette à mouche rose fluo avec la tête et les cheveux rouges et jaunes peut être qualifier de quelqu'un en bonne santé... Physique oui, mentale non.
Mais elle était folle. De rage, s'entend, puisque folle elle l'était déjà.
Elle se rua sur la Zéta et s'arrêta à deux mètres. Sa colère s'était évaporée, et avait laissé place à une autre émotion, une autre envie. Elle voulait... jouer. Jouer à la poupée.
Youpi ! Sa Barbie était devant elle.
Et elle bondit.
Sortant une brosse à cheveux d'on ne sait où, elle sprinta et s'assit à côté de sa Barbie, Jude donc, et empoigna son cou, l'empêchant de respirer.
Et elle se mit à brosser les cheveux, brosser encore et encore, tirer sur les cheveux, sans faire attention à la main qui tenait fermement son jouet, l'empêchant de s'échapper, et qui griffait son cou, ses épaules, ses bras.
Etait-il possible que pire torture puisse exister ?
Dans ce cas, Jean en serait la créatrice...
Elle continua son ouvrage, superposant mèches sur mèches, dans une coiffure informe. Et elle riait, riait, riait tant...

Jude riait à george déployée. Qu'elle bonheur que cette superficielle de Kappa l'ai provoqué. Elle n'avait pas deux ronds de cervelle,celle là..
Pourtant,la jeune fille se sentir obligé de s'éloigner de sa provocatrice. La fille haute en couleure n'était pas entrain de fulminer de rage,mais regardait jude avec un sourire mauvais.

La jeune crinière blonde,pensant que ce massacre était fini,alla s'asseoir sur un banc,et sortit un livre. Elle n'entendit pas la Kappa sprinter sur elle. Des mains sur son coups. Bien placé pour ne pas qu'elle s'enfuie,mais pour ne pas la tuer non plus. Jude hoqueta de frayeur. Sa rivale était entrain...de lui peigner les cheveux. De la manière la plus horrible. Et elle se laissait faire,comme une pauvre gourde. Les ongles de la kappa s'enfoncaient dans la peau de Jude,lui faisant mal.

Ayant repris ses esprits,elle se servit des coudes pour atteindre son ventre. Sur le coup,la kappa fut soufflé. 3 minutes. Parfait. Avec une vitesse presque impossible,Jude s'empara de la brosse,plaqua la kappa sur le sol et entreprit de lui déchirer ses vêtements.

Puis,pour ne pas avoir de riposte,et encore rageuse,Jude s'en alla,sans oublier de hurler à la folle qui l'avait attaqué:

Tu le payera,je te le promet!

Le RP étant fini,je vérouille^^

» Jude C. Blamby [Présentation Finie **]
» Aurore Jude Widimle [Validée]
» Jude. # Still don't know what i'm waiting for. [uc]
» Jude L. Andrews
» Jude's relationship. Come on, come on, my friends.